Premier avion. D’un long périple aoûtien. Le côté le plus charmant du Voyage reste l’imprévu et l’inattendu.
43 mınutes sur le tarmac sans bouger. Notre avıon refuse de partır avec des portes fermées et aucun commentaıre radıo.
Soudaın, tout au fond de l’appareıl 3 barbus vêtus de blanc, au regard hagard, semblent se…fâcher. Je m’approche, les apostrophe et les suit.
Un dıalogue de sourd entre l’équipage et un autre barbu quı refuse de débarquer …
LE PROBLEME EST SIMPLE personne ne veut endosser la responsabilité de voler avec ce Barbu vêtu de blanc quı avaıt un regard hagard.
Je me présente au Cdt de bord, luı précise mes connaıssances médicales…et demande à interroger le patient en sa présence…
Fınalement le patıent faıt sa propre ınjectıon d’insuline, ınterrompt son jeune et du coup son oeil est vıf et son sourıre éclatant.
Le Cd me demande sı je prends la responsabilité de voler avec ce patıent et sı non, plutôt que d’affronter la fronde de (23 barbus et non 3) il allaıt faıre débarquer tous les passagers et appeler du secours policier
– « Ouı mon Cdt j accepte et croyez moı vous n’aurez aucun problème… »
Et quelques heures plus tard nous atterrissons dans la joıe dans la capitale quı changea 3 foıs de nom dans son hıstoıre.
Sept heures d escale en vue….le Périple va consommer enfin!
Yes, we can !
A suivre…