Cinéma japonais
L’Empire des sens de Nagisa Oshima: passion charnelle; amour furieux (Cinéma Japonais)
L’empire des sens de Nagisa Oshima, film scandaleux du Cinéma Japonais des années 70 raconte une passion charnelle mêlant sexualité crue et amour furieux.
Saya Zamuraï de Hitoshi Matsumoto : film à sketch à l’humour absurde (Cinéma Japonais)
Avec Saya Zamuraï, Hitoshi Matsumoto, star de la télévision japonaise, livre un film à sketch à l’humour absurde … Inclassable, déroutant et pourtant plus sage que ses oeuvres précédentes…
Les meilleurs films japonais de tous les temps selon les Japonais?
Quels sont les meilleurs films japonais de tous les temps selon les Japonais? Découverte du patrimoine culturel nippon à travers le 7ème Art. Ou comment le cinéma japonais révèle la société et la culture japonaise.
Yasuzo Masumura ; le précurseur de la Nouvelle Vague au Japon
Cinéaste méconnu en France, Yasuzo Masumura figure pourtant comme l’une des grands précurseurs de la Nouvelle Vague au Japon…
Black Kiss ; faux semblants à Tokyo
Black Kiss, si l’on en croît son réalisateur Makoto Tezka (Hakuchi), est une tentative de s’écarter des expérimentations de l’auteur pour s’ancrer dans un cinéma de genre – le thriller en l’occurrence – plus immédiatement accessible.
Rêves de Akira Kurosawa : harmonie, message spirituel et splendide modernité
Huit rêves, huit promenades dans l’inconscient, dérives fantasmatiques ou visions prémonitoires, dont le héros est le réalisateur lui-même. Dans les premiers épisodes, l’auteur est encore un enfant, dans les six autres, il est successivement un adolescent, un étudiant, un adulte, un homme mûr puis un vieillard, l’interprète étant un acteur qui lui ressemble : certains de ces rêves proviennent de mon enfance – a déclaré Kurosawa – mais il ne s’agit pas pour autant d’un film autobiographique, plutôt de quelque chose d’instinctif.
Hommage à Kenji Mizoguchi : les années 40 au Japon en DVD
Kenji Mizoguchi est l’un des grands cinéastes japonais des années 40 et 50. Avec ce coffret de DVD, on découvre le Mizoguchi des années 40, qui annonce déjà ses chefs d’oeuvres Contes de la lune vague après la pluie à La Rue de la honte…