Rashomon de Kurosawa ; joyau indémodable du 7ème art (Cinéma japonais)
Rashomon est l’un des nombreux chefs d’oeuvre du cinéaste japonais… Lire la suite »Rashomon de Kurosawa ; joyau indémodable du 7ème art (Cinéma japonais)
Rashomon est l’un des nombreux chefs d’oeuvre du cinéaste japonais… Lire la suite »Rashomon de Kurosawa ; joyau indémodable du 7ème art (Cinéma japonais)
Né d’une famille paysanne, Kaneto Shindo a longtemps observé le dur labeur de la terre par ses parents. A l’aube des années 60, sa société de production affronte de lourdes difficultés économiques qui l’empêchent de se lancer dans un nouveau projet. Le cinéaste rassemble ce qui lui reste de moyens et tourne L’île nue avec un budget dérisoire, loin des studios de Tokyo.
Lire la suite »Regards sur le Japon : L’Ile nue (Hadaka no shima) de Kaneto Shindo
Yotsuya Kaidan est au kaidan eiga (films de fantômes), ce… Lire la suite »Yotsuya Kaidan ; un film de fantômes japonais
Eatrip est le film des amoureux de la nourriture. Ceux-là… Lire la suite »Eatrip, un film de Yuri NOMURA
L’empire des sens de Nagisa Oshima, film scandaleux du Cinéma Japonais des années 70 raconte une passion charnelle mêlant sexualité crue et amour furieux.
Avec Saya Zamuraï, Hitoshi Matsumoto, star de la télévision japonaise, livre un film à sketch à l’humour absurde … Inclassable, déroutant et pourtant plus sage que ses oeuvres précédentes…
Quels sont les meilleurs films japonais de tous les temps selon les Japonais? Découverte du patrimoine culturel nippon à travers le 7ème Art. Ou comment le cinéma japonais révèle la société et la culture japonaise.
Cinéaste méconnu en France, Yasuzo Masumura figure pourtant comme l’une des grands précurseurs de la Nouvelle Vague au Japon…
Black Kiss, si l’on en croît son réalisateur Makoto Tezka (Hakuchi), est une tentative de s’écarter des expérimentations de l’auteur pour s’ancrer dans un cinéma de genre – le thriller en l’occurrence – plus immédiatement accessible.
Avec L’École du plaisir : jeux interdits, film qui s’inscrit déjà… Lire la suite »L’École du plaisir : jeux interdits ; regard sur le système éducatif nippon
Huit rêves, huit promenades dans l’inconscient, dérives fantasmatiques ou visions prémonitoires, dont le héros est le réalisateur lui-même. Dans les premiers épisodes, l’auteur est encore un enfant, dans les six autres, il est successivement un adolescent, un étudiant, un adulte, un homme mûr puis un vieillard, l’interprète étant un acteur qui lui ressemble : certains de ces rêves proviennent de mon enfance – a déclaré Kurosawa – mais il ne s’agit pas pour autant d’un film autobiographique, plutôt de quelque chose d’instinctif.
On le sait depuis Sayuri stip-teaseuse : désirs humides (Ichijô sayuri : nureta yokujo, 1972), Tatsumi Kumashiro aime les personnages “vrais”. L’expression “plus vrais que nature” s’impose même, tant le cinéma de l’auteur tente par tous moyens d’échapper à l’entropie d’un genre (le roman porno), qui tend à condenser le matériau primal des émotions humaines en une représentation érotique fantasmée. Ainsi choisit-il de faire appel à une véritable strip-teaseuse, offrant son patronyme au titre même de ce deuxième long-métrage et premier grand succès public du cinéaste.
Kenji Mizoguchi est l’un des grands cinéastes japonais des années 40 et 50. Avec ce coffret de DVD, on découvre le Mizoguchi des années 40, qui annonce déjà ses chefs d’oeuvres Contes de la lune vague après la pluie à La Rue de la honte…
Découvert en Occident grâce à Rashomon ( 1950 ), Lion… Lire la suite »Akira Kurosawa ou un art pictural extrême