Quel transport privilégier pour partir en vacances ou se déplacer pour des besoins professionnels dans lesquels on peut associer un séjour de loisir ? A une époque, la réponse à ce type de questions était évidente pour la plupart des personnes qui prévoyaient un voyage. Mais aujourd’hui, en raison de la crise du pouvoir d’achat, de la prolifération d’offres en ligne ou dans la vie réelle et de nombreuses considérations économiques, écologiques ou personnelles, il n’y a plus de moyen de transport parfait ou unique. Tout dépend de chaque projet et on peut donc s’interroger sur la pertinence de rester enfermé dans un certain confort ou dans ses habitudes. Et surtout, les habitudes des voyageurs en France évoluent suffisamment pour qu’il n’y ait pas qu’une bonne manière de voyager, mais des modes de déplacement adaptés en fonction de besoins spécifiques, d’occasions ou de circonstances favorables.
Autrefois, il y a quelques années à peine, il m’aurait semblé impossible d’imaginer un voyage autrement qu’avec ma voiture personnelle, car je suis amatrice de road trip en Europe et ça rimait pour moi avec la liberté totale. Un sentiment appréciable de pouvoir faire un peu ce que je veux, comme je veux quand je veux… Et pourtant, j’ai fini par reconsidérer mon précepte du tout voiture, au fur et à mesure que j’ai pris en compte des données que j’oubliais trop souvent d’intégrer dans le budget comme l’assurance sans cesse plus chère, l’entretien de plus en plus couteux pour un vieux véhicule, les éventuels pépins qui s’accumulent et qui renchérissent comme une panne sur le chemin et les galères pour le dépannage, sans parler des surcoûts…
Ne pouvant pas prendre l’avion pour des raisons personnelles de santé, je me suis demandé comment voyager sans compter uniquement sur ma voiture qui a dépassé l’honorable âge de 25 ans et surtout comment le faire de façon plus économique ?C’est ainsi que j’ai opté pour la facilité de la location de voiture dans un premier temps… Ca ne changeait pas trop mes habitudes initiales et en choisissant cette possibilité, je ne m’embêtais pas avec les risques et les coûts cachés de la voiture souvent sous-estimés. Et à partir de là, j’ai commencé à ressentir mes voyages comme de nouvelles expériences, ne serait-ce que parce que je ne bougeais plus de la même manière …
Location de voiture : flexibilité et souplesse
La location de voiture en France, en Europe ou partout dans le monde présente presque toujours le même avantage : conserver le maximum de liberté de mouvement et de latitude pour explorer et faire du tourisme de façon plus approfondie, sans contrainte, surtout avec le kilométrage illimité. J’aime trop l’idée d’aller là où les autres touristes ne vont pas pour me limiter aux destinations très touristiques ou les grandes villes facilement desservies par le train, le bus ou l’avion.
Louer une voiture suppose pour moi au moins trois atouts :
- la souplesse de mouvement,
- la possibilité de conduire une voiture neuve ou en très bon état, sans avoir à me soucier de rien en choisissant éventuellement mon niveau d’assurance pour être encore plus tranquillisée,
- l’opportunité de choisir le véhicule et de concilier un objectif de déplacement avec une démarche plus écoresponsable…
La durabilité dans le voyage n’était pas une préoccupation initiale, mais j’ai apprécié l’idée de pouvoir louer une voiture électrique pour voir un peu à quoi ressemblait un voyage avec ce type de véhicule sur lequel j’avais initialement pas mal de préjugés. C’est donc ce que j’ai fait chez Europcar, après avoir fureté pour trouver la meilleure offre en explorant plusieurs sites et en allant finalement directement sur leur site.
Comparer les offres sur plusieurs types de sites
Pour trouver les meilleures offres, l’essentiel est de prendre le temps de faire jouer la concurrence et de toujours vérifier les prix et propositions aussi directement sur le site du loueur.
Il y a désormais plusieurs types de plateformes et ce n’est pas toujours clair pour le consommateur, qui recherche une prestation et espère simplement de tomber sur un loueur fiable. Les sites des agences comme Europcar, Budget, Avis ou Sixt permettent de bénéficier du meilleur niveau de garanties, de conditions d’utilisation claires qui définissent la politique de vente et des avantages propres à la marque. Parmi ceux-ci, il y a des programmes de fidélité, ou des services spécifiques qui font gagner du temps, comme la livraison clé en main sans attente à l’arrivée, ou des possibilités de paiement attractives pour ne pas débourser à l’avance par exemple ou avec des conditions d’annulation sans frais jusqu’à la veille. A moins d’avoir ses habitudes et une prédilection pour une marque, il est impossible de faire le tour de toutes les agences les plus connues sans y passer des heures ou des jours. C’est pourquoi les comparateurs et les sites de courtiers sont les plus pratiques et rapides pour repérer en quelques clics et secondes l’éventail des offres de location en terme de prix, de modèles et d’options… Mais ils ne dispensent pas d’aller toujours sur le site du loueur avant de finaliser pour avoir souvent de bonnes surprises et des prix peut-être plus avantageux ou des opportunités qui rendent la location de voiture.
Il y a une différence entre ces deux prestataires, comparateur et courtier, car le comparateur comme son nom l’indique ne fait que répertorier et suggérer des offres de partenaires vers lesquels vous êtes adressés et donc vous êtes baladé d’un site à l’autre pour en savoir plus sur le détail de chaque proposition, tandis que l’on peut toujours rester le même site, quand on consulte un courtier et visualise les principales offres jugées les plus pertinentes. Sur le fonctionnement, le comparateur touchera une commission infirme pour ce service, si vous réservez par le biais de son lien, mais il n’est responsable en rien dans votre achat, alors que le courtier négocie des offres spécifiques pour ses clients et pourra vendre la prestation en tant qu’intermédiaire et gérer la réservation jusqu’à sa finalisation avant que vous soyez renvoyé vers l’agence pour récupérer votre véhicule. Vous n’achetez donc pas auprès du loueur directement, mais vous profitez d’offres alternatives à celles de la marque, et cela peut s’avérer beaucoup moins cher (ou pas).
C’est souvent pertinent de débuter une recherche sur un site de courtier (appelé brockers), spécialisé dans la négociation comme Discovercars, Autoeurope ou équivalents pour avoir une vision approximative des meilleures offres. Ils disposent d’accords avec de nombreuses agences (jusqu’à 250 ou 300) pour lesquelles ces plateformes proposent des contrats spécifiques et des prix parfois cassés, en raison des volumes de ventes qu’elles génèrent dans le monde. Mais ce n’est pas toujours évident que le prix soit moins cher que sur le site du louer. D’où l’importance de toujours vérifier. Je l’ai constaté notamment en faisant une réservation auprès du site de location de voiture Europcar, après avoir lancé une recherche sur un site de courtier, qui renvoyait le meilleur prix pour ce loueur. Puis, j’ai consulté un comparateur de prix et après avoir constaté que le loueur proposait plusieurs avantages non négligeables dans ses devis en direct, j’ai préféré passer par eux plutôt que par un intermédiaire. C’est sans compter sur des campagnes promotionnelles et des remises spécifiques de la marque pour certaines périodes ou lors d’événements comme Halloween, la Saint Valentin, vacances de Pâques ou Noël. Et pour ne rien gâcher, des loueurs prévoient de plus en plus un programme de fidélité pour récompenser les clients et bénéficier de petits avantages, des surclassements si possible, alors qu’en passant par les autres sites, on n’aura pas ces petits plus.
Les comparateurs de type Booking, Skycanner, Kayak sont des outils très pratiques pour obtenir un panel d’offres que l’on peut affiner avec des filtrages, classer en fonction de la pertinence du moteur, et des critères qu’on souhaite privilégier au-delà du prix. Néanmoins, ne vous limitez pas aux comparateurs, car ils ne sont pas sans défaut ou risque par rapport aux conditions de vente. Et surtout il y a pas mal de pièges, qui obligent à plus d’efforts, de vigilance et d’attention et de lecture de toutes les informations souvent en petit caractère qu’on ne lit pas assez !
Les comparateurs ont beau être très rapides pour fournir des devis, il faut toujours consulter l’ensemble des offres pour vérifier les conditions de vente différentes d’un prestataire à l’autre. Les courtiers s’avèrent plus efficaces en la matière, car ils ont tendance à négocier aussi leurs packs d’assurances ou d’options, et à proposer des conditions assez similaires pour ce type de services, quelle que soit l’agence. Le courtier présente aussi l’avantage de plus de clarté pour les questions de responsabilités en cas de différend. De plus, ces plateformes concentrent un nombre d’avis clients suffisamment important pour se faire un avis sur la fiabilité et les retours d’expériences d’autres consommateurs, qui peuvent être bien utiles pour éviter les mauvaises surprises. Mais pour plus de sécurité, rien ne vaut de louer chez le louer en direct qui s’engage sur ses seules conditions de vente, alors qu’en cas de recours à des sites intermédiaires, on ne sait pas toujours vers qui se tourner.
Bien anticiper pour obtenir les offres les plus économiques
Rien ne vaut l’anticipation. Il n’est pas nécessaire de s’y prendre forcément aussi longtemps à l’avance que pour l’avion, où l’on trouve souvent des prix très performants en septembre et octobre lors des sorties des premières prévisions des compagnies. Mais plus on anticipe 6 à 7 mois avant dans l’idéal, plus on trouve des offres très économiques et on peut aussi profiter de la traditionnelle période d’après soldes d’hiver, quand certaines agences décident de faire des opérations spéciales ou des remises pour compenser une période de moindres ventes entre février et mars.
Pour partir en Croatie, par exemple, inutile de s’y prendre un an avant, à moins de vouloir payer plus cher. Mais si vous comptez faire un voyage pendant l’été, quand les prix sont les plus élevés, vous trouverez d’excellentes offres en hiver, entre janvier et mars, avec des prix jusqu’à 40-50% moins chers que ceux obtenus pour les touristes peu prévoyants qui s’y prennent à la dernière minute. C’est logique, puisque les agences évitent de subir les creux de réservation et essaient de donner envie aux voyageurs de s’engager le plus tôt possible. Il n’est pas pertinent de demander des devis, dès la fin de la saison précédente en septembre ou octobre, car les prix de la saison suivante ne sont pas toujours connus et pourraient donc être défavorables. Les agences ont aussi bien rempli leurs caisses, donc ne se sentent pas obligées de concéder des remises même quand on les négocie. Si vous demandez un geste commercial, lors d’une réservation anticipée, dans certains pays, comme la Croatie, vous obtiendrez des remises jusqu’à 10-15% supplémentaires, surtout si vous payer un acompte.
Lors d’un séjour en France, il est plus difficile de négocier en direct, car cela reste un pays touristique sans saisonnalité très marquée avec du tourisme un peu toute l’année. Mais l’offre peut être encore plus large, car il y a un nombre de loueurs encore plus important : grosses agences internationales ou nationales, petites agences locales, locations auprès de supermarchés… Peut-être qu’une petite agence du coin s’avèrera très compétitive ?!
Ne pas payer des services pour rien
Aujourd’hui, on sait que beaucoup de cartes bancaires comprennent des assurances permettant l’économie notable des assurances des loueurs. Par défaut, tout loueur propose la responsabilité au tiers, donc la responsabilité civile, mais pour se éviter toute mésaventure à cause d’une franchise élevée, il faut éventuellement payer un peu plus. On ne prend pas assez le temps de toujours s’informer surtout si on n’est pas un voyageur très initié. Presque toutes les cartes de crédit des banques françaises incluent des possibilités de rachat de franchise et évitent de devoir payer pour des assurances qui représentent un vrai surcoût (jusqu’à 20-25€/jour). Certaines cartes de débit également présentent les mêmes avantages. Pour ma part, j’ai une carte Ultim chez Boursorama, gratuit, qui inclut des assurances pour divers domaines dans le voyage comme l’assurance santé, le remboursement en cas de vols retardés, le vol de bagages ou la location de voiture.
Attention, toutefois à ne pas croire que votre carte couvre tout et vérifiez aussi que vous détenez bien une carte de paiement acceptée par le loueur, avant la finalisation de la réservation, car on peut exiger une carte de crédit sur de nombreux sites et ne pas avoir la bonne carte expose à des déconvenues. C’est l’un des principaux problèmes des clients peu habitués aux loueurs, qui pensent que leur carte bancaire est une carte de crédit, alors qu’elle est à débit immédiat et elle peut être refusée au moment de récupérer la voiture ou entraîner un surcoût et une très mauvaise surprise si on ne vous livre même pas le véhicule et que vous devez en chercher une nouvelle en dernière minute. C’est juste la cata !
Il faut toujours vérifier le mode de paiement imposé par le site de réservation et aussi vérifier auprès de la documentation de l’assurance bancaire ou après du service qui vous dira exactement ce que comprend votre assurance et ce qu’il n’est pas nécessaire de payer auprès du loueur.
Remises spéciales et cashback
Il n’y a pas de petites économies, donc si vous recherchez vraiment les petits prix, vous pouvez gratter quelques euros avec le système de cashback. Les plateformes de ce genre comme Ebuyclub, Igraal, Mino ou Coupert proposent un pourcentage de remise supplémentaire chez certains de leurs partenaires ou aident à localiser des offres spéciales, des codes promo ou à obtenir des avantages. C’est notamment le cas pour Europcar, où l’on peut bénéficier de réduction jusqu’à 20% et ajouter un cashback de 5% sur le montant de la réservation.
Covoiturage : partager un trajet, une expérience humaine au-delà de l’économie
Je ne m’étais jamais essayé au covoiturage, jusqu’à ce qu’une connaissance me parle de son expérience enthousiasmante et me suggère de tester. Le covoiturage est présenté comme une solution pratique pour se déplacer un peu partout, en optimisant son déplacement, soit parce qu’on peut réduire le coût en partageant son véhicule, soit en profitant d’une opportunité pour partager les frais. C’est aussi une tendance pour privilégier la mobilité durable et se donner une meilleure conscience par rapport à la protection de l’environnement. Le prix de la prestation en covoiturage représente la quote-part des coûts (carburant, péages, entretien, assurance) et d’éventuels autres frais qui peuvent permettre au chauffeur de rentrer dans ses frais. En soi, le concept de se déplacer avec d’autres personnes qu’on ne connaît pas ajoute une pincée de surprise au voyage. Faire des rencontres, tout en voyageant à petit prix, c’est une très chouette idée ! C’est donc avant tout une démarche de sociabilité, au-delà de l’économie potentielle par rapport à tous les autres transports.
BlaBlaCar, GoMore, Klaxit (ex Idvroom), Mobicoop, coopérative issue de covoiturage-libre.fr, des références pour trouver son bonheur, tout en garantissant la meilleure fiabilité et sécurité de la transaction. Il existe maintenant des comparateurs comme pour la location de voiture, pour centraliser les offres, à l’instar de Kombou Tictacprix, qui listent les meilleurs trajets en carpooling. Blablacar, leader mondial du voyage collaboratif, se présente comme une communauté bien plus qu’à un simple site de prestations. Il y a le partage d’expériences, bonnes ou plus délicates, les notations des conducteurs pour bien mesurer le niveau de fiabilité.
J’appréhendais un peu mon premier trajet entre Toulouse et Nice qui m’a coûté autour de 30€. Il s’est bien passé au final. Le conducteur nous a mis à l’aise, car nous étions deux autres personnes à l’accompagner sur le trajet. Il était un habitué du service et était très bien noté, donc cela inspirait confiance. Il avait une conduite rassurante et était agréable au contact, tout comme l’autre accompagnateur, avec qui on a pu discuter un peu de tout et rien pendant le voyage, comme si on se connaissait depuis longtemps. C’était non seulement bien moins cher que ce que cela m’aurait coûté en train ou en bus, mais en plus, c’était convivial et détendu et je n’ai presque pas vu les 5h de trajet passer.
Le train : ou comment j’ai voyagé pour 1 €
A vrai dire, mon premier et seul voyage en train longue distance datait de l’enfance. Je n’avais pas d’a priori sur le train, mais je n’avais jamais vu dans ce mode de transport la meilleure occasion de voyager pas cher jusqu’à ce que j’échange avec une amie, qui m’a parlé de ses voyages à 1 € dans ma région d’Occitanie. Ca me semblait assez improbable de croiser des voyages à 1 € même pour des déplacements un peu longs et je croyais qu’elle avait juste eu de la chance. J’ai pourtant découvert que l’Occitanie proposait des campagnes comme celle du 1er Week end du mois pour 1 € et j’ai donc commencé mes recherches, en consultant les prix à 10 jours avant la date comme indiqué sur l’offre. Et à ma grande surprise, j’ai bien trouvé des tas de possibilités de destinations pour cette somme modique…
Aller donc de Perpignan à Toulouse pour 1€, ça n’est pas juste une pub, c’est bien la vérité. J’ai donc créé mon compte sur l’appli de la SNCF et procédé aux réservations en quelques minutes. Le jour J, je découvre que le train est bondé, mais ce n’est pas si grave, car j’ai réussi à trouver une place assise et j’ai apprécié cette première expérience, donc maintenant, tous les premiers week-ends en cet automne, je me suis mise à voyager pour 1€, alors que je n’avais pas pris le train depuis des lustres et je me suis transformée en amatrice de ce type de transport. Voir le paysage défiler presque en douceur au lieu de s’embêter à conduire, et faire le trajet en moins de temps qu’avec la voiture et sans les inconvénients, c’est très agréable et je suis immédiatement devenue accro, et surtout à ce prix. Au-delà de ces promotions exceptionnelles, SNCF ne manque pas d’offres à prix cassés, comme je l’ai découvert depuis, avec par exemple un Toulouse – Paris déniché à 25 € ce qui est moins cher que pour aller à 100 km de chez moi avec ma voiture !
Le bus : une solution économique si on aime prendre son temps
Obligée de me rendre à Barcelone pour des motifs familiaux, j’ai cherché la meilleure solution pour ne pas prendre ma voiture, qui aurait été un handicap en raison de son âge, de l’obligation de déclaration pour pouvoir rentrer, et des difficultés pour se garer aujourd’hui dans cette ville. J’excluais donc la location de voiture pour la même problématique, et je n’ai pas trouvé le moindre train à moins de 79 € pour l’aller et au moins 50 € pour le retour, soit 130€, ce que je trouvais trop onéreux. Du coup, faute d’avoir déniché une offre de covoiturage, j’ai pensé au bus et à Flixbus en particulier et je me suis rendue compte que je pouvais trouver un trajet à 19 € ce qui était nettement plus conforme à mes attentes et même une très bonne surprise, car il m’arrive de payer le même prix pour aller à 1h de chez moi.
Alors soit, c’est 5h15 de trajet, contre 3h en train ou environ 3h30 en voiture par l’autoroute, sans compter les éventuels ralentissements sur la route, imprévisibles de toute façon dans les deux cas. Mais 19 €, c’est beaucoup moins cher que la seule autoroute jusqu’à la frontière, à laquelle il faut ajouter le carburant, l’usure de la voiture, le parking sur place. J’ai donc validé mon voyage Toulouse – Barcelone à ce prix qui est néanmoins jusqu’à 3 fois moins cher que les autres prix moyens du trajet.
J’ai apprécié mon expérience. Le voyage a duré environ 5h40, avec une pause. J’ai trouvé le bus plus confortable que ce à quoi je m’attendais sur une durée assez longue.
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