Feu d'artifice du 14 Juillet : Auch tout feu tout flamme !

Votre séjour en Croatie est unique ; notre expertise l’est aussi! Pour mieux préparer vos vacances, consultez le guide voyage Croatie et téléchargez les Ebooks gratuits : conseils pratiques, idées de visites et bonnes adresses.

Le feu d’artifice du 14 Juillet à Auch est l’occasion de découvrir un spectacle tout en lumières sur les bords des berges du Gers…

Mardi soir, j’ai réussi à me laisser convaincre d’aller au feu d’artifice à Auch par ma meilleure amie Laetitia, j’étais en plus accompagnée de trois de mes amis. Après un petit repas bien sympathique dans le studio de mademoiselle Laeti, nous nous sommes engouffrés sur les berges du Gers… littéralement bondées de monde !

Nous n’avons donc pas pu nous installé exactement en face du feu d’artifice mais nous avions une très belle vue sur la tour d’Armagnac qui transperçait la nuit !

Les premières fusées furent envoyées. C’est à ce moment précis que les gens expriment leur contentement par des « HAAAAA » ou des « HOOOO ». Au dessus des flots gersois, je dois avouer que c’était bien joli. Entre nous et les fusées, un pont coupait un peu le spectacle tout en lui donnant en même temps un certain charme.

Des couleurs et des lumières à profusion dans le ciel de nuit gersois et quelques applaudissements de temps en temps.

L’eau du Gers miroitait les multiples couleurs des feux qui volaient.

J’avoue avoir trouvé tout cela un peu court, mais c’était quand même bien joli à voir !

Le soir du 14 Juillet 2010 en Auch, s’est déroulé un spectacle de Pyrotechnie qui a émerveillé la basse comme la haute ville depuis le Quai Lissaragay et par-dessus le Gers.

J’adore Auch. J’ai beau la visiter souvent en long en large et en travers, je ne m’en lasse pas surtout que j’y découvre toujours quelque chose… Or pour le 14 Juillet 2010, j’étais dans les rues auscitaines. Rentrées dormir à 5h du matin, une amie et moi avons été réveillées en fanfares par le défilé de la Fête nationale qui se déroulait à une rue de ses fenêtres.

Après une molle journée, entre petite balade éphémère et somnolence, le soir venant, nous nous sommes rendues, alentour de 21h30 au Quai Lissaragay, où se devait se dérouler le feu d’artifice et où devaient nous rejoindre mes parents. C’est d’abord par l’escalier monumental que nous sommes passées ; ce dernier commence véritablement à retrouver toute sa noblesse suite aux travaux qui durent depuis un moment, mais j’y reviendrai ultérieurement.

Pour rejoindre le quai Lissaragay, il fallait, en raison des installations pyrotechniques, absolument passer par le pont du Prieuré fleuri de Pétunias et autres fleures roses.

Une fois arrivées à bon port, il fallait égoïstement conserver sa place car la foule s’épaississait considérablement de minute en minute. Appuyées sur la rambarde, nous attendions mes parents, alors que la nuit tombait petit à petit. La magistrale Tour d’Armagnac et la non moindre Cathédrale Saint-Marie surgissaient illuminées de la haute ville.

Mes parents sont enfin arrivés, beaucoup d’autres gens aussi. Le spectacle allait commencer. Lorsque toutes les lumières de rue se sont éteintes, la foule s’enthousiasma, les yeux rivés sur le Gers. Des tas de fusées éclatèrent en plusieurs couleurs.

La berge d’en face, rougeoyante ou illuminée, semblait s’embraser de mille feux.

Le ciel détonnait de belle bleues, de belles vertes, de belles rouges ou de belles blanches.

Sur le pont, à gauche, les étincelles se balançaient au-dessus de l’eau jusqu’à ce qu’elles éclatent sous l’imposant regard de la Tour d’Armagnac et de la cathédrale.