Pirates des Caraïbes 4 : la fontaine de Jouvence de Rob Marshall

Pirates des Caraïbes: la fontaine de Jouvence est le 4ème opus des tribulations du pirate le plus célèbre du cinéma Jack Sparrow. Réalisé par Rob Marshall, ce film d’aventures plonge à nouveau le spectateur dans les légendes de piraterie…

Eh oui, nous sommes allés voir le dernier Pirates des Caraïbes, en 2d par contre puisque notre cinéma préféré a laissé le choix aux spectateurs entre la 2D et la 3D. Ce dernier opus des histoires de Jack Sparrow s’ouvre sur la découverte d’un homme qui prétend avoir retrouvé le célèbre bateau de Juan Ponce de León, connu pour avoir découvert la fontaine de Jouvence. Cet homme est ramené en Espagne où la couronne décide d’envoyer immédiatement un navire à la recherche de ce trésor. Nous nous retrouvons ensuite à Londres dans un tribunal pour assister au jugement d’un compagnon de voyage de Jack. Ce dernier est accusé de piraterie et les juges le prennent pour Jack. Ce dernier apparait alors sous les traits du juge, fait libérer après moult aventures son compagnon et apprend de sa bouche qu’une rumeur court sur Londres selon quoi le capitaine Jack Sparrow rechercherait un équipage pour trouver la fontaine de Jouvences. Quand Jack découvrira l’identité de son imposteur, la couronne d’Angleterre aura déjà envoyé un navire sous la direction d’un corsaire à la recherche également de la fontaine de Jouvence. Jack n’a plus qu’un seul choix : partir lui aussi à l’aventure vers la jeunesse éternelle.

Certes le film est moins déplaisant que le précédent, mais on est très loin de la réussite des deux premiers. J’aimais beaucoup les premiers Pirates des Caraïbes, car derrière les aventures de Jack, les scénaristes multipliaient les références aux légendes de pirateries : le Black Pearl, David Jones et j’en passe. Là il n’y a plus rien. Barbe noire est présent mais rien n’est raconté sur son histoire. Et même la fontaine de Jouvence qui est pourtant au cœur du récit ne bénéficie d’aucun traitement. Reste alors des scènes de combats calibrées et programmées à intervalles réguliers plus quelques blagounettes ridicules. Du très mauvais divertissement.