Cinéma allemand
Il était une fois un meurtre de Baran bo Odar ; un esprit malsain (Cinéma allemand)
Il était une fois un meurtre de Baran bo Odar est un film policier sombre, un conte moral éprouvant et à l’atmosphère étouffante, où se conjuguent esprit malsain, anxiété, étrangeté et sournoiserie autour d’un crime et d’un deuil …
Soul Kitchen de Fatih Akin : une vraie bouffée d’air pur (Cinema allemand)
Avec Soul Kitchen (cinema allemand), Fatih Akin, réalisateur allemand d’origine turque, manie un art de la légèreté qui fait de son film une bouffée de bonheur, divertissante et cultive humilité et sensibilité sans sensiblerie.
La Révélation de Hans Christian Schmid : un film nécessaire sur les crimes en Bosnie
Conçu comme un thriller politique, La Révélation (Sturm) de Hans-Christian Schmid révèle de complexité d’une juridiction internationale pour statuer sur les crimes de guerre en Ex Yougoslavie et notamment en République serbe de Bosnie.
Film Ludwig II, superproduction superficielle sur Louis II de Baviere (Cinema allemand)
Ludwig II (Louis II de Bavière), film historique du cinéma allemand, évoque l’histoire de la vie depuis son ascension au trône jusqu’à sa mort mystérieuse.
Aimée et Jaguar de Max Farberbock ; amours saphiques dans le Berlin nazi (Cinéma allemand)
Aimée et Jaguar (Aimée und Jaguar) ou une histoire d’amour lesbien sur fond de drame historique et de tragédie. Aimée et Jaguar, c’est l’exploration du Berlin de 1943 dans le regard de ces deux femmes – l’une juive et résistante, l’autre modèle de la femme et mère de famille aryenne – ; deux femmes que tout oppose, et qui défient les valeurs sociales et familiales et les conventions de l’Allemagne nazie… Aimée et Jaguar est injustement passé inaperçu à sa sortie en 1998, alors que ce drame est remarquablement interprété, audacieux, sensuel et dérangeant.
Pripyat de Nikolaus Geyrhalter : vivre dans la zone interdite de Tchernobyl et être Samosioly
Pripyat, réalisé par l’autrichien Nikolaus Geyrhalter en 1998 est un film documentaire et un témoignage fort de ce qu’est aujourd’hui la vie des gens qui continuent à vivre et à travailler à Tchernobyl. Le choix du noir et blanc rend les images encore plus troublantes…