Le bleu est notamment la couleur de la douceur et des émois amoureux. C’est donc dans un sens très littéral qu’il faut considérer Blue Gate Crossing comme une innocente bluette, et sans qu’il soit nécessaire de lui associer alors un pressentiment péjoratif.
Wong Kar Waï est l’une des figures majeures du cinéma chinois contemporain et tout simplement pour beaucoup un maître du cinéma international, consacré notamment avec In the mood for love. Un cinéma de la nostalgie, un réalisateur à la recherche de l’essence du cinéma, qui s’attache aux personnages et les magnifie.
People mountain People sea de Cai Shangjun est un film coup de poing qui raconte une histoire de meurtre et de vengeance dans le Guizhou, dans une Chine soumise à de brutales mutations.
Gong Li est certainement la comédienne chinoise la plus connue et la plus magnétique, nimbée par la distance qu’elle sait imposer et le mystère qu’elle cultive autour de sa personne.
Tony Leung Chiu Wai, né à Hong Kong le 27 septembre 1962, débuta sa carrière d’acteur à TVB, chaîne de télévision hongkongaise pour laquelle il jouera de nombreux téléfilms au début des années 80.
Murmures de la jeunesse (Mei Li Zai chang ge) de Lin Cheng-sheng est un joli film touchant. La rencontre de deux adolescentes dans le Taipei des années 90. Une histoire d’amitié très forte sur fond d’initiation pour devenir adulte.
Chronique post-adolescente dans le Taipei du début du XXIe siècle, Betelnut Beauty ne brille pas par son originalité mais trouve tout son intérêt dans sa peinture locale.
Dans Sauna on moon, le réalisateur chinois Zou Peng lève le voile sur la prostitution ; un sujet qui demeure encore tabou dans une Chine pourtant de plus en plus dominée par l’argent et le pouvoir…