pour la « lancha » une grosse barque couverte qui sert d’autobus pour tout le monde pour se rendre à Tigre bien plus rapidement que par la route . Et puis, surtout, les propriétaires sont vraiment
très très sympathiques, gentils, intéressants, on se régale de discuter avec eux. Un intermède qui nous a bien remonté le moral que nous avions plus qu’à plat après ces incidents à répétition.
« L’hirondelle » fleur de philodendron…oui, oui, cette plante verte un peu insipide qui pousse en pot en Europe, ici, escalade les arbres et laisse tomber des racines, grosses comme le doigt vers
le sol.
Le vendredi 5 mars, retour à « la capitale » en train. Environ 50 minutes d’un train/métro qui pour quelques centimes d’euros nous conduit en plein centre ville, à la gare du Rétiro à quelques cinq
cent mètres à peine du consulat. La préfecture de Montpellier n’a pas jugé utile depuis mardi d’envoyer un e.mail pour confirmer que nous sommes bien contribuables dans cette bonne ville, trop
occupés sans doute par les facéties politique qui agitent Montpellier à l’occasion des élections régionales, mais de façon très serviable, et voyant que nous sommes bien embêtés, la responsable du
consulat nous fait tout de même le passeport. C’est un passeport qui n’est valable que un an mais qui nous suffit. Comme nous avions des photocopies du permis international et de la carte grise de
Zébulon, elle nous conseille de les faire plastifier et de les présenter avec la déclaration de vol faite à Trelew, ça devrait passer comme ça. En plus, dans un café Wi-Fi nous apprenons que tout
va bien pour nos amis camping caristes, qui étaient au Chili.