Récit d’un séjour en circuit organisé en Afrique du Sud. Une expérience qui n’est pas la portée de toutes les bourses, mais qui est exceptionnelle, avec de belles découvertes, des paysages plein de charme, la rencontre avec un peuple accueillant, une culture et une histoire riches.
Voyage en Afrique du Sud avec une Agence de Voyage locale
Quand je choisis une destination, le choix du tour opérateur est important, il doit me permettre de découvrir un maximum du pays sur lequel j’ai jeté mon dévolu… Selon ce critère immuable, cette année je suis parti une agence de voyage locale en Afrique du sud dont on peut louer le sérieux tant en matière d’organisation que de prestations….
Je suis malheureusement conscient que le prix du circuit n’est pas à la portée de toutes les bourses, ce fut aussi mon cas quand j’étais plus jeune. C’est pour ceux-là plus particulièrement que j’écris aujourd’hui sachant qu’au moins virtuellement ils vont voyager le temps de la lecture de l’avis…
Donc, question prix, le circuit retenu, du 9 au 20 juin avec pension complète était de 1790 € auquel il faut ajouter les taxes aériennes (145 €), le supplément pour la découverte en 4X4 du parc Kruger (45 €), la surcharge carburant du fait de l’augmentation du prix du pétrole (9 €) et enfin l’assurance facultative (80 €).Pour vous épargner de sortir la calculette, le total se montait donc à 2304 € par personne. Cela s’explique en partie par la distance Paris-Johannesbourg (près de 9000 km) et deux vols intérieurs Johannesbourg-Le Cap et Le Cap-Durban.
Les divers déplacements aériens se sont faits avec la South African Airways que je découvrais . Sa flotte ( surtout des Airbus) est récente et les prestations à bord m’ont totalement satisfait.
Voyager en Afrique du Sud avec un Guide
C’était une femme de 43 ans, dont le nom SMITH trahissait les origines anglaises de ses ancêtres, mais tout au long du circuit elle a su faire abstraction de ses origines et être totalement objective quand elle évoquait l’Histoire de l’Afrique du Sud. Elle a su ne pas prendre parti ni pour les uns ni pour les autres, c’était faire preuve de respect pour nous autres touristes avides de connaitre l’Histoire de son pays et de ses multiples peuples ( il y a pas moins de 11 langues officielles).
Fiona, c’était son prénom, maitrisait parfaitement la langue française , était toujours disponible, nullement raciste et semblait même fière que son pays puisse être un exemple d’intégration réussie des noirs qui avaient tellement souffert du traitement imposé par les colons blancs. Souvenons-nous de l’apartheid encore dans toutes les mémoires et pourtant c’était hier ( j’en reparlerai en détail ).
Elle possédait d’excellentes connaissances sur un peu tous les sujets qu’elle abordait sans aucun tabou…Ma découverte de l’Afrique du Sud, je la dois en grande partie à Fiona que je qualifierais d’excellente guide. Et chacun sait qu’un voyage organisé réussi dépend en grande partie du guide…
Conditions du voyage en Afrique du Sud en groupe
– NOTRE GROUPE
Le prix et aussi la période de l’année ( c’est le début de l’hiver en Afrique du Sud ) sont certainement les raisons pour lesquelles notre groupe n’était constitué que de 11 personnes..Autant dire un nombre idéal pour créer une parfaite osmose, ce qui fut le cas, même si nos origines géographiques étaient diverses ( région parisienne, Lyon, Marseille, Perpignan et Strasbourg).
-NOTRE CIRCUIT
Il me parait essentiel pour donner plus de valeur à mon témoignage personnel sur le pays d’indiquer que même si bien sûr je ne peux prétendre tout connaitre de l’Afrique du Sud en 10 jours, j’ai suffisamment voyagé du sud au nord pour me faire une opinion générale.
Ainsi, mon circuit a commencé par Cap Down , le cap de Bonne Esperance, la route des vins au sud pour se terminer à Prétoria et Johannesbourg , en passant notamment par Durban, les parcs de Hiuhluwe et le parc national Kruger ainsi que le Drakensberg au nord.
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L’Afrique du Sud ; un peu d’histoire et de géographie
Je ne vais pas vous faire un cours de géographie et d’histoire mais un minimum s’impose pour connaitre l’évolution d’un pays et c’est peut être encore plus vrai avec l’Afrique du Sud. D’un point de vue GEOGRAPHIQUE, c’est assez simple.Il faut considérer que le pays, bordé par les océans Atlantique et Indien, a une superficie de 1,2 millions de Km2 soit 2,2 fois la France, que sa population est estimée à 50 millions (chiffre certainement sous-évalué compte tenu que le recensement n’est pas obligatoire),à majorité noire et métisse, que la partie nord-ouest est quasiment inhabitée (sud du désert du Kalahari) et que la population urbaine représente environ 55%.
L’Afrique du Sud, de par sa position privilégiée sur la Route des Indes constitua donc un enjeu stratégique après la découverte du Cap de Bonne Espérance à la fin du 16ème siècle. C’était, de plus, une étape idéale pour refaire le plein de fruits frais et lutter plus efficacement contre le scorbut qui décimait les équipages…
Sur un plan HISTORIQUE, il faut considérer que l’Afrique du Sud était occupée jusqu’à la moitié du 17 ème siècle par deux ethnies dont les plus connus sont les Bushmen.
Les premiers européens à s’installer dans le sud (région de Cap Town) furent les Hollandais tout simplement parce que la très prospère Compagnie des Indes Orientales était hollandaise et qu’ils se rendirent rapidement compte de l’intérêt d’y faire escale..Au départ, ce fut plutôt une colonisation de hasard mais leur arrivée décima les populations locales non immunisées contre les maladies européennes (variole notamment).
Se rendant compte de la richesse du sol sud-africain, ils étendirent progressivement leur territoire à l’intérieur, d’abord vers l’extrême sud dans une vallée fertile et propice à la culture de la vigne. Profitant de la persécution des Huguenots en France à la suite de la révocation de l’édit de Nantes en 1685, ils accueillent ceux qui avaient des connaissances en viticulture. Ainsi allait naître le vin Sud-Africain et le terme de Boers (fermiers)..
Dans le même temps, d’autres Boers se dirigent vers l’Est et le Nord, sans se fixer. On les appellera les Trekboers ( fermiers vagabonds). Mais mal organisés et trop dispersés, ils ont du mal à se défendre contre la tribu noire des Xhosas qui elle progresse du Nord vers le Sud.
Un peu plus tard, en 1795, la Compagnie des Indes Orientales fait faillite et en pleines guerres napoléoniennes, les Anglais en profitent pour s’installer en Afrique du Sud avec l’assentiment des Hollandais. Mais très vite, avec l’arrivée massive de colons, ils vont prendre le dessus et dés 1815, ils réforment , à leur image, la société sud-africaine. C’est ainsi que de nos jours, on roule à gauche en Afrique du Sud ( un exemple parmi d’autres )….
Mais la cohabitation entre ces colons hollandais et anglais n’est que de courte durée et une lutte permanente les oppose à partir de 1835… Les Anglais mieux organisés font fuir les Boers qui se cherchent de nouvelles terres plus au nord. C’est le Grand Trek dont patiront au bout du compte les populations noires..
Et puis à la fin du 19 ème siècle, c’est la découverte des mines de diamant et d’or qui font de l’Afrique du Sud une colonie aux enjeux économiques tout aussi importants que ceux des Indes britanniques..Cette période marque l’arrivée de grandes entreprises capitalistes.Mais l’exploitation minière requiert de la main d’oeuvre: Les noirs seront celle là……et les Anglais considèrent les Boers comme des Africains c’est à dire qu’ils vont essayer de les exploiter de la même manière…..
Le 16 décembre 1880, face à cette situation, Paul Kruger, président des Boers va déclarer la guerre aux britanniques, tout en substituant le terme d’Afrikaner à celui de Boer….Une idéologie et une nation sont en train de naître et une guerre sans merci va les opposer de 1899 à 1902, les Anglais en sortant finalement vainqueurs….En 1910, les Afrikaners obtiennent malgré tout leur indépendance avec la création de l’Union sud-africaine constituée de 4 états du sud et membre du Commonwealth….
Mais les noirs sont de plus en plus laissés pour compte, tout juste bons à servir de main d’oeuvre bon marché. Ce sont les prémices de l’Apartheid, mot qui
signifie « séparation »…..On commence par les écarter de l’Éducation car cela couterait trop cher !!!! Sous l’instigation de quelques leaders noirs soutenus par Gandhi qui travaille alors comme avocat en Afrique du Sud, une opposition s’organise.C’est la création de l’ANC en 1923, mais cela ne fait que renforcer les mesures liées à l’Apartheid (suppression du droit de vote, couvre-feu le soir pour les noirs, lieux de résidence pour noirs, etc….) d’autant plus que les dirigeants des mouvements d’opposition sont emprisonnés dans les années 1950……Nelson Mandela en 1963…
La violence ne fait que monter dans le pays pour aboutir aux émeutes de Soweto en 1976 encore dans toutes les mémoires. La répression fut sanglante mais l’opinion internationale ne put plus ignorer ce qui se passait en Afrique du Sud, les capitaux étrangers commencèrent à quitter le pays…
Petit à petit, conscient du danger, le pouvoir blanc assouplit l’Apartheid et une nouvelle constitution fut crée en 1983, laquelle visait à accroitre le pouvoir des métisses et des indiens, mais pas encore celui des noirs…
En 1989, le Président De Klerk autorise les partis d’opposition et annonce la libération de tous les prisonniers politiques. Le plus célèbre d’entre eux, Nelson Mandela est libéré le 2 février 1991 après 27 années de détention. Dans la foulée, les lois sur l’Apartheid sont abrogées….
Vient alors l’année décisive dans l’histoire de la nouvelle Afrique du Sud : 1994. Le 27 avril restera une date historique. Ce sont les premières élections multiraciales et la première fois que la voix d’un noir équivaut à celle d’un blanc dans ce pays. Nelson Mandela est élu président et à son initiative, il va présider conjointement avec De Klerk pendant 2 ans afin d’assurer une transition dans le calme, sans esprit de revanche..L’ONU ne s’y trompe pas en levant les sanctions économiques et en donnant le prix Nobel de la paix à ces deux hommes d’exception..
Pas facile de faire court, mais je crois qu’on ne peut comprendre ce qui se passe en Afrique du Sud depuis un peu plus de dix ans si l’on fait abstraction de son passé mouvementé des trois derniers siècles….Maintenant, je vais pouvoir vous donner mes impressions sur ce que j’ai vu et l’évolution que j’ai constatée.
Voyage en Afrique du Sud : impressions sur un pays contrasté
Le premier sentiment qui m’étreint au retour de ce pays très attachant à plus d’un titre c’est la multitude de contrastes qu’il recèle tant d’un point de vue géographique et climatique qu’ethnique ou démographique…
Mais ce qui m’a frappé c’est et surtout que l’Afrique du Sud est en pleine mutation depuis la fin de l’Apartheid et la nouvelle constitution qui, en 1994, a donné le pouvoir politique aux noirs tout en laissant (pour l’instant) le pouvoir économique aux mains des blancs…C’est une mutation qui, certes, n’en est qu’à ses débuts mais ses effets sont déjà très palpables…Elle ne sera terminée qu’après une ou deux générations tant les noirs ont de retard en matière d’éducation, la base de toute évolution durable……
Comme je l’ai déjà dit, mais je ne me lasse pas de le répéter, un homme a joué un rôle essentiel pour mettre le pays sur de bons rails, il s’agit bien sûr de Nelson Mandela..Il a compris que les noirs n’étaient pas prêts pour diriger l’économie du pays, lequel ne s’en sortirait que si les les blancs et les noirs œuvraient ensemble. Un exode des dirigeants blancs face à un esprit revanchard des noirs aurait conduit le pays à la ruine…La révolution se fait progressivement et compte tenu des richesses du pays, les investisseurs étrangers sont de plus en plus nombreux..Le miracle s’est produit et maintenant les blancs et les noirs travaillent ensemble que ce soit dans les restaurants, les magasins, le tourisme, les administrations, etc…
Le réseau routier est en excellent état, que ce soient les autoroutes ou les routes nationales, certaines portions de ces dernières étant à péage car l’exploitation et l’entretien ont été confiés à des sociétés privées. Et le droit de péage est particulièrement élevé, à peu près 1 rand du kilomètre ( 1€ vaut 8 rands)et de l’ordre de la moitié pour les voitures !!! C’est cela que l’on évoque de plus en plus en France…
L’essence est moins chère qu’en France, 5 rands le litre alors que le pays n’a pas de pétrole. Il faut préciser que 65% de l’essence vient du charbon sud-africain et le reste de l’importation de pétrole du golfe persique…
Quand on évoque les richesses de l’Afrique du Sud, on pense tout d’abord à ses mines qui font sa réputation, l’or (1er producteur mondial et 40% des réserves mondiales), les diamants (5ème), le charbon (3ème), le platine (69% des réserves mondiales), le manganèse (82%), le chrome (56%) mais il ne faudrait surtout pas oublier ses richesses terrestres à commencer par la viticulture, la sylviculture (1/4 de la production mondiale de papier), la production de fruits que nous consommons en hiver (saisons inversées) ainsi que la canne à sucre et le maïs et depuis quelques années le tourisme qui ne cesse de se développer…..On s’en rend très bien compte en traversant les vignes du sud, les superbes forêts du Drakensberg, les immenses champs de ces diverses plantations au nord du pays et les vastes mines à ciel ouvert du ventre du pays….J’ai eu la nette impression que l’Afrique du Sud faisait au mieux pour développer toutes ces richesses et que pour cela elle profite de la diversité climatique entre le nord et le sud (un peu comme en France)..
Ce qui frappe et je dirais m’a surpris, c’est la propreté qui règne tant dans les grandes villes que dans les campagnes….Pas de papiers, ni de sacs en plastique dans les rues et la campagne comme on le voit dans les pays africains ou en Amérique centrale ou du sud et……en France. D’ailleurs fumer est interdit dans tous les lieux publics et personne ne brave cet interdit…..Très peu de mégots dans les rues…
Et puis, j’ai été frappé par le comportement exemplaire des automobilistes..Toute personne qui attend pour traverser un passage piétons, même si elle se trouve sur le trottoir, verra l’automobiliste s’arrêter. Cela est systématique quel que soit l’âge du conducteur…Je peux vous dire que l’on a du mal à s’y habituer. En tout cas, c’est une belle leçon que nous devrions méditer..
Tout n’est pas idyllique et j’en ai pour preuve la protection des domaines privés, que ce soient des maisons ou des plantations…Dans le sud et très souvent aussi dans le nord, les propriétés sont protégées par des clôtures électrifiées ou à défaut par des barbelés..Tout cela parce que la criminalité et notamment les vols sont monnaie courante..Le tout étant lié au taux de chômage très important dans les milieux défavorisés et à une mauvaise répartition des richesses même si cela évolue tout doucement..Il faut quand même relativiser, ces protections datent du passé et je n’ai pas eu la sensation d’être en danger pendant mon circuit….
La corruption est aussi banalisée et à tous les niveaux puisque le vice-président vient d’être renvoyé pour cette raison..Une lutte contre la corruption est mise en œuvre mais les mauvaises habitudes ne se perdent pas du jour au lendemain…..Pour ce qui est de la corruption , ce n’est pas propre à l’Afrique du Sud mais ça existe…..
Tout comme les bidonvilles qui se sont développés aux abords de toutes les villes…Plus de 5 millions de personnes y vivraient dans des conditions d’extrême pauvreté et dans des conditions d’hygiène déplorables…Pas étonnant dans un pays qui ne s’est pas soucié des laissés pour compte de la société pendant plusieurs décennies…Depuis 1994, un effort important est fait, je peux en témoigner, pour éradiquer de phénomène.. Des bâtiments en dur avec eau et électricité se construisent mais cela va prendre du temps et se pose d’ailleurs la question cruciale de la participation de l’Etat aux charges de fonctionnement de ces logements qui je le rappelle sont occupés par des familles à très faibles revenus, voire sans revenu..
Et cette situation ne se résoudra qu’avec le temps lorsque les noirs auront rattrapé leur retard en matière d’instruction pour pouvoir postuler sur des emplois rémunérateurs … Actuellement, 80% des noirs sont sous-instruits, 26% sont sans aucun revenu, chiffre porté à 45% si l’on y inclut les petits boulots (vendeurs de journaux dans les rues par exemple)…Mais l’évolution est en route, souvenons-nous qu’avant 1994, les noirs étaient considérés comme des sous-hommes, qu’un couvre-feu leur était imposé après 22 h, que les mariages mixtes noirs/blancs étaient interdits, que les noirs ne pouvaient boire d’alcool, qu’ils devaient travailler sur leur lieu de naissance, etc….Je suis confiant dans l’avenir quand on constate l’évolution en seulement 10 ans…..
L’architecture sud-africaine possède plusieurs caractéristiques. Tout d’abord, il n’y a pas beaucoup d’immeubles de très grande hauteur en dehors des hôtels et des bureaux modernes…..Les maisons individuelles n’ont , très souvent, qu’un seul niveau..La raison en serait l’attachement des sud-africains à la terre…..Ensuite la plupart des maisons individuelles ont le toit en tôle et bien souvent les façades également, le bois étant beaucoup utilisé à l’intérieur…Les couleurs dominantes sont le vert, le bleu et le marron pour les toitures, le jaune d’œuf et l’orange-rosé pour les façades… Cette belle harmonie des couleurs donne une touche de gaieté, très agréable à l’œil..
Avant d’en arriver à la conclusion, je voudrais évoquer brièvement les safaris proposés en Afrique du Sud (le parc Kruger) . Il y a beaucoup d’animaux sauvages mais les conditions d’observation sont difficiles du fait qu’ils vivent dans la brousse et non dans la savane. Pour ceux qui souhaitent faire exclusivement un safari, choisissez le Kénya ou la Tanzanie, sinon vous serez déçus…
Conclusion sur l’Afrique du Sud
Il y aurait encore beaucoup à dire …
Pour résumer, je dirais que l’Afrique du Sud a beaucoup de charme, une culture récente mais riche, des gens attachants et accueillants et qu’elle possède tous les atouts pour en faire une grande puissance mondiale, ayant déjà la première place en Afrique…Que ceux qui ont la possibilité de s’y rendre n’hésitent pas à le faire, ils ne seront pas déçus….
Et pour conclure, je vous livre une phrase prononcée par l’un de nos guides locaux, de couleur noire et qui , à mon sens résume assez bien la situation : » Les bidonvilles sont l’Afrique. L’Afrique du Sud moderne n’a plus rien à voir avec l’Afrique »…
Merci de vos lectures.
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