Valparaiso : une rue du cerro « musée à ciel ouvert »
Le 6 Août,
Nous partons de bonne heure sous un beau soleil et une température plus clémente, tous les mimosas, et il y en a des forêts entières sont en fleurs, espérant trouver un bivouac agréable du coté
de Vignas del Mar la banlieue de Valparaiso, mais, c’est absolument impossible. Interdiction aux camping-cars de stationner le long de la plage, impossible de se garer sur un terrain de »
Cabanas », pas de camping, le seul camping existant dans le coin étant « en vente » donc fermé bien entendu. Bref nous finissons par trouver à nous garer à Con-con,( , oui, ben non, c’est en effet tout mais
c’est le nom de ce village ) sur le parking d’un hôtel fermé et en travaux,en bordure de la plage, avec une colonie de pélicans qui vivent sur les rochers tout près et où on nous certifie que
Zébulon sera en sécurité lorsque nous irons demain visiter Valparaiso. En attendant, nous faisons une promenade dans le bourg tout en montées et en descentes. Normal, ici les Andes finissent dans
l’océan.
Les pélicans de Valparaiso.
Le 7 Août
Le bus que nous avons pris à Con-con nous laisse à Valparaiso place Sotomayor. Il est de bonne heure et la ville s’éveille à peine. Nous faisons un tour dans des rues presques vides et puis au
fur et à mesure que nous nous approchons de la place de la Victoire, la ville basse s’anime. Nous prenons un ascenseur qui nous fait accéder au cerro « musée à ciel ouvert » où nous nous promenons
un long moment de peinture murale en peinture murale, un vrai régal, puis nous redescendons pour aller vers les cerros Alègre et Conception que nous escaladons à pieds cette fois çi, pour aller
déjeuner chez « Le Filou de Montpellier » ! Celui là, on ne pouvait tout de même pas le rater ! Bon ce n’est pas de la haute gastronomie française mais tout de même, ça fait plaisir après tous ces
mois de cuisine Sud Américaine de retrouver des goûts bien de chez nous. Nous prenons tout notre temps pour déguster puis nous empruntons un autre ascenceur, bien plus vertigineux celui-çi que le
premier, pour rejoindre la place Sotomayor où j’ai repéré en passant ce matin un café Wi-fi pour pouvoir lire nos messages et y répondre et puis, comme le temps se couvre, nous rentrons juste à
temps pour que Gil puisse faire des photos de coucher de soleil sur la plage.
Isla Negra : la sublime maison de Pablo Neruda.
Le 8 Août
Finalement nous décidons de partir dés ce matin vers l’Isla Négra où nous arrivons en fin de matinée dans un joli petit camping assez vétuste, certes, mais dans un petit bois à environ deux
kilomètres de la maison de Pablo Néruda que nous allons visiter l’après midi.
Le lieu et la maison musée sont splendides, un véritable enchantement où l’esprit du poète est présent dans toutes les pièces qui toutes donnent sur l’océan, qui était sa passion, bien qu’il
affirme qu’il est plus sûr de voyager sur terre que sur mer
Isla Negra toujours la maison du Poète !
Le 9 Août
Flemme, ménage et courses au village d’Isla Negra et l’après- midi promenade sur la plage du coté de la maison de Néruda. L’océan est vraiment splendide !
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