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cinémas du monde

Black Kiss ; faux semblants à Tokyo

Black Kiss, si l’on en croît son réalisateur Makoto Tezka (Hakuchi), est une tentative de s’écarter des expérimentations de l’auteur pour s’ancrer dans un cinéma de genre – le thriller en l’occurrence – plus immédiatement accessible.

London River de Rachid Bouchareb ; un film instantanément touchant

Avec London River, Rachid Bouchareb s’attaque à un sujet délicat : celui des attentats qui frappèrent Londres en 2005… Deux parents, inquiets après avoir appris la nouvelle des attentats, se précipitent à Londres pour retrouver leurs enfants, dont il n’ont pas de nouvelle. Plongée au coeur de l’oppression et de l’angoisse que peut éprouver tout parent dans ce genre de drame, avant que la réflexion sur le deuil et les traditions religieuses commence à se dessiner…

Rêves de Akira Kurosawa : harmonie, message spirituel et splendide modernité

Huit rêves, huit promenades dans l’inconscient, dérives fantasmatiques ou visions prémonitoires, dont le héros est le réalisateur lui-même. Dans les premiers épisodes, l’auteur est encore un enfant, dans les six autres, il est successivement un adolescent, un étudiant, un adulte, un homme mûr puis un vieillard, l’interprète étant un acteur qui lui ressemble : certains de ces rêves proviennent de mon enfance – a déclaré Kurosawa – mais il ne s’agit pas pour autant d’un film autobiographique, plutôt de quelque chose d’instinctif.

Shirin d’Abbas Kiarostami : de l’émotion à l’épreuve

Dans Shirin, Abbas Kiarostami se livre à une forme de cinéma expérimental. Un film dont les personnages sont filmés alors qu’ils assistent à une séance de cinéma. Pendant ce moment, par jeu de miroir, Kiarostami, l’un des plus célèbres cinéastes du cinéma iranien, révèle toute l’émotion éprouvée par ces femmes…

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