Les États-Unis est un des leader dans la lutte mondiale contre le VIH / Sida.
Des centaines de millions de dollars américains ont été dépensés pour aider les personnes vivant avec la maladie depuis 1987.
Alors que les États-Unis aidaient à la recherche, la nation américaine empêchait les touristes séropositifs d’entrer sur son territoire. Cette interdiction n’avait jamais été levée depuis son implantation en 1987. Cette politique de sanction a pris effet au moment où le sida a été mal compris.
Le mois dernier, le président des États-Unis d’Amérique, Barak Obama, a levé l’interdiction, faisant ainsi un soupir de soulagement à tous les gens vivant avec le sida.
Aujourd’hui, nous savons que le VIH ne se transmet pas par contact occasionnel et que l’infection peut être prévenu. On ne peut pas en dire autant de la tuberculose active, le choléra, la fièvre jaune, la variole, la lèpre et d’autres maladies qui restent encore sur la liste des interdictions.
Ce processus visant à éliminer l’interdiction des voyageurs séropositifs a commencé sous le président George W. Bush en juillet 2008 quand il a signé une loi qui a abrogé la loi initiale. La loi désignée VIH/SIDA comme étant une « maladie transmissible d’importance pour la santé publique ».
La levée officielle et l’entrée en vigueur du nouveau règlement débuteront officiellement le 4 janvier.
Cela permet au président Obama de respecter une promesse faite lors de la campagne vers la Maison Blanche face à la communauté gay.
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C’était quand même l’un des derniers pays « occidentaux » à conserver cette interdiction me semble-t-il… Il doit rester la Russie, l’Arabie saoudite, l’Arménie, le Bruneï, la Chine, la Corée du Sud, l’Irak, la Moldavie, le Qatar et le Soudan.