Introducing Azerbaidjan : Voyage Azerbaidjan sur la route de la soie…

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Les restaurants de Sheki sont très bien caches, donc pour deux nuits j’avais mange dans le restaurant dans le jardin de l’hotel. Les serveurs jaunes étaient vraiment amicales, même qu’ils n‘ont pas beaucoup de nourriture a m’offrir. Il y avait une carte de menu, mais tout ce que j’ai demande, ils m’ont dit “désolé, il n’y a pas”, et enfin ils m’ont donne ce qu’ils trouvaient dans la cuisine. Je m’attendais à ce qu’ils apportent le “gretchi” (un plat dégueulasse de blé bouilli), mais c’était un bonne surprise…j’ai mange du “shashlyk” (kebab de la viande mouton), du dolma (les légumes bourrées de la viande et du riz) et finalement du “manti” (comme le ravioli italien), et c’était vraiment excellent. Le lendemain, il y avait une groupe des politiciens locaux dans le restaurant, et ils ont demande un chanteur traditionnel. Apres quelques glances vers moi, ils m’ont invite a les joindre. Ce soir la, nous ne nous sommes pas compris très bien, mais c’était inoubliable, particulièrement quand l’électricité a fini vers minuit et cinq gens très ivres ont du trouver leurs chambres sans aucune lumière!Plus haut dans les montagnes, j’ai marche a pied de Sheki au petit village de Kish. J’ai entendu qu’il y avais une église belle la-bas, donc après deux heures je suis arrive dans le village. J’ai cherche et j’ai cherche, mais malheureusement, je ne l’ai jamais trouve. Mais ce n’était pas tout mal, parce que le village est pittoresque, sur les rives d’un fleuve étroit, et pour quelques heures j’ai passé du temps dans un chaikhana en parlant avec les villageois amicaux qui ont été choque qu’un touriste visite son village!

Deux heures par autobus a l’ouest, la ville de Zaqatala est assez bizarre. L’hotel Azerbaijan était le seul hébergement en ce moment la, et c’était remplis des réfugiés de Nagorno Karabagh sauf pour une chambre sale. La réceptionniste a demande US$40, mais quand je l’ai dit “trop cher”, la prix est devenue US$4. Dans ma chambre, mon lit était dégueulasse, la fenêtre cassée, le balcon était prêt à tomber, et je n’ai jamais entre la sale de bains…le manque de l’eau avait créé une odeur très mauvaise, et j’avais peur pour mon sante! Mais en comparaison avec les chambres des réfugiés, ma chambre était un palais.La ville était très bizarre…il n’y avait personne dans les rues, les gens que j’ai vu m’ont regarde avec un regard fixe froid. J’ai fait un petit tour de la ville, avant d’aller au village de Car (prononce “Jar”), ou les maisons sont construites de pierres et ressemblent les maisons tours comme les petites châteaux en Georgie. Les villageois étaient beaucoup plus amicales que les habitants de Zaqatala, et une des fermiers m’a conseille de ne pas aller a Zaqatala le soir. Il ne m’a pas donne aucun raison, mais j’étais un peu fatigue donc j’ai tres bien dormis chez Monsieur Azim et sa famille. Sa maison était très simple, les repas fraiches (du fromage sale, “dogracha”…soupe de yaourt, gretchki et vodka sans fin!), la conversation un peu difficile (il a parle un sort de Tatar, dans la même famille que turque, mais très distant), mais c’était hospitalité réelle.

Le lendemain, j’ai retourne a Zaqatala, et j’ai essaye d’embarquer un autobus a Bakou, mais l’homme au guichet m’a dit “venez le soir”. Le soir, je suis venu, et il m’a dit “venez le matin”. Ça m’a fâché beaucoup, parce que j’ai vu des azeris en achetant des billets, mais toute fois il m’a dit “non, non, il n’y a pas!” Personne dans ce guichet ne m’a aide pas, donc je me suis assis dans la gare routière avec mon sac a dos. Après quelques minutes, quelqu’un m’a demande “qu’est-ce que tu fais ici?”, et je l’ai explique qu’il n’y avais pas des billets. “Non, il y a…attendez un moment”. Cet homme est allé au même guichet et sans aucun problème m’a acheté un billet..

Il a essaye de m’expliquer pourquoi je ne pouvais pas le faire moi-même…”quand nous étions une république soviétique, nous avons regarde tout les étrangers comme les espions, donc ceux qui travaillent dans les guichets ou dans les magasins ou dans les ministères, quelquefois ils ne servent pas les étrangers. Mais as-tu vu qu’ils sont amicales au même temps? C’est tres difficile pour les plus âgées, parce qu’ils racontent l’époque soviétique, ainsi que leurs traditions azeris, et ils ne savent quoi a faire.”Après un voyage des cauchemars en route a Bakou (l’autobus ancien était en panne plus de 10 fois!), j’ai passe un jour a Bakou, ou j’ai ouvert mes e-mails. J’ai reçu des nouvelles fraiches de la gouvernement a Londres…”Conseils de voyage pour l’Azerbaidjan: Nous conseillons a tous ceux qui visitent ce pays de ne pas aller en tout cas a Zaqatala a cause d’instabilité politique”

Avant de retourner en Géorgie, j’ai pris un petit voyage au nord-est de l’Azerbaidjan. Quba est située sur la rive ouest d’un fleuve faisant rage. La vie ici tourne autant le Parc Nizami, ou les hommes boivent du thé et discutent les jeux  d’échecs et “nardi” (un jeu traditionnel). Au centre-ville, on peut voir des vieilles maisons dilapidées, des mosquées en bois très colorées et aussi un cimetière intéressant pleine des tombeaux impressionnants. Descendez les escaliers du parc, et traversez le pont…sur la rive est, les gens ne disent pas “selam” pour vous dire le bonjour. Non, ils disent “shalom”. Vous ne trouverez les mosquées vieilles ici, seulement les synagogues modernes. Vous êtes entre Krasnaya Sloboda, la seule ville dans le monde pour les Juifs seulement, en dehors d’Israël. Il y a une grande différence entre la richesse de Krasnaya Sloboda et l’air d’affaiblissement a Quba.Le soir, j’ai rencontré deux étudiants musulmans dans un café a Quba, et nous avons parle des relations musulmans-juifs. “Les relations ne sont trop mal…nous les tolérons, ils nous tolèrent, mais c’est tout.” Mais c’est mieux que les relations ailleurs du monde.

J’ai l’intention de retourner a l’Azerbaidjan, peut-etre l’annee prochaine? Je voudrais aller aux villages loin de la route touristique, comme Xinaliq, Lahic, Lenkoran, Qabala…C’est un pays difficile pour les touristes, mais cela m’attire… il est comme un défi personnel.Pour ceux qui ne peuvent pas vivre sans confort, qui n’aiment pas les voyages longs, qui ont peur d’aller aux locations ou ils ne parlent pas des langues étrangers, l’Azerbaidjan sera impossible. Mais si on as un sens d’aventure et un sac a dos remplis de la patience et la bonheur, ce pays vous récompensera bien.

Pour les infos touristiques (la nourriture, hébergement, comment arriver en Azerbaidjan, les visas, etc…) et pour connaitre le capital de ce pays, veuillez visiter mon avis sur Bakou.

Crédit photo du chapeau à gauche : patrickjeanphotographe.com

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