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Auxerre, un passion, est le dernier ouvrage proposé par les éditions de Bourgogne dans la collection « Patrimoine ». Il révèle la passion d’un homme, Guy Férez, Maire d’Auxerre et vice président du Conseil Régional de Bourgogne pour la ville d’Auxerre. Un livre sous forme d »entretiens.
Escapade en Bourgogne, la Toscane française, à la découverte des paisibles routes des vins et des petites villes et villages typiquement bourguignons : de Mâcon dans la Saône à Cluny, Vezelay et Auxerre…
En 3 ans et 9 séjours, Hans Silvester , accompagné d’un guide et de deux interprètes, a côtoyé les tribus Hamer, Mursi, Surma, Bume et Karo. Les photographies prises au cours de ces séjours sont superbes et témoignent du quotidien d’une Afrique inconnue : retours de chasse, jeux d’enfants, parades.
Si vous séjournez dans l’Yonne, découvrez ce petit lieu bien sympathique : l’Hôtel Restaurant Les Deux Ponts à Pierre Perthuis en Vezelay. Une cuisine savoureuse, de qualité et à prix très raisonnable.
Raccourcis ! … Les trente “glorieuses”, le progrès, la libération de l’homme de certaines contingences matérielles, beaucoup plus de la femme d’ailleurs et … l’essor des jardins! Une belle “page” de Toni Morrison dans un très grand roman : “Paradis“. Une idée bien racontée : mesurer les progrès d’un certain “bien-être” à l’aune des jardinets et des fleurs. Etonnante réflexion également sur les écosystèmes, avec cette “arrivée” des nouveaux papillons!
Son vol est majestueux. Le héron cendré, échassier solitaire au plumage abondant à dominante grise, est reconnaissable parmi mille avec son long cou,un bec long et pointu et de hautes pattes. Partons à la découverte d’un oiseau libre.
… Photographies d’un week-end en Morvan quand il n’y a pas GOUR !
Samedi soir au coucher du soleil, ce n’était pas gagné : les esprits s’échauffaient sur la réalité d’un GOUR ou pas GOUR ! Cette histoire de “Gour” enseignée par les anciens permet de prévoir la météo du lendemain et donc les activités sérieusement envisageables. L’interprétation du “signe” était particulièrement délicate samedi.
C’est une belle plume, un grand journaliste, un étonnant voyageur que ce Gilles Lapouge. Le Brésil, sujet du livre « Equinoxiales » publié en 1977, me permet de vous confier une « page » qui ne raconte pas le Brésil mais que j’adore. Ces raccourcis “méli-mélo” historiques d’un demi-siècle sans soucis chronologiques, sont d’une concision évocatrice extraordinaire. A relire ce passage, on prend les bonnes mesures de l’évènement. Lire la suite »Brumes de syncope
Vous décidez un levé tôt pour essayer d’arriver avant les marchands (impossible en fait) sur le vide-greniers que vous fréquentez tous les ans avec des bonheurs inégaux. Patatrac ! Plus du tout ce que c’était ? L’espace jusqu’alors familial et sentant bon la vraie poussière n’est plus de mise : du plastic et pas du meilleur, de l’électronique en panne, du CD piraté, des cassettes douteuses etc. (du avant Hadopi). Même pas le Larousse agricole des années 50, pas plus qu’un vieil outil rouillé … Du plastic !
Un recueil de contes et légendes des chemins de Saint-Jacques signé Jean-Paul Rousseau, (Alias chambolle ) collaborateur régulier du blog collectif Le Chat. Grand marcheur devant l’éternel, l’auteur connaît bien les étranges visions qui naissent de la fatique, de l’épuisement, du froid, des pieds endoloris, mais aussi l’ivresse d’un paysage neuf au petit matin que le chemin ensemence à mesure qu’il le traverse.Lire la suite »Le bourdon et la coquille de Jean-Paul Rousseau : Contes du chemin de St Jacques
Découvrez Cravant; carrefour stratégique entre l’Yonne et la Cure qui offre un système hydraulique exceptionnel dans son cadre champêtre magnifique. Tourisme Bourgogne.
Partons à la découverte des vignobles de Bourgogne de manière insolite en suivant le canal du Nivernais sur un bateau plaisancier et en parcourant le chemin vignoble d’Irancy.
Varzy en Vezelay et ses environs en Nièvre, font la jonction entre le Morvan à l’Est et le Val de Loire à l’Ouest. C’est une zone de transition bien marquée, telluriquement, socialement, économiquement : autrefois un grand « Marché ».
C’est à Saint Brisson que se situe, en Nièvre, le centre administratif du parc naturel régional du Morvan. Un endroit merveilleux, résultat de la réhabilitation intelligente d’une belle propriété chargée d’histoire.
La découverte est progressive si vous arrivez par la petite route de St Cyr les Colons . Les tours de l’église Saint Valérien se démasqueront alors très progressivement, un “streep-tease” architectural en quelque sorte. Saint Valérien est classée Monument Historique; sa nef provient du XII ème et elle fut fortifiée au XIV ème. Le village s’articule de part et d’autre de sa rue colonne vertébrale, à l’image de nombreux villages vignerons par ici.
A l’image de tous les parc naturels, le Parc du Morvan a sa “maison” : Saint Brisson. C’est toujours un plaisir renouvelé de rendre une petite visite à cet “espace St Brisson”. La région doit cette création à Paul Flandin qui fut président fondateur de la Fédération des Parcs naturels de France : un homme du pays dont la propriété borde la Cure, cette si belle rivière morvandelle, dans la commune de Domecy sur Cure (Yonne-89).
Après un siècle passé sur cette planète à observer, essayer de comprendre, faire partager sa connaissance, Lévi-Strauss est l’un des pères fondateurs de la pensée structuraliste ; auteur d’une œuvre considérable pour les sciences et pour la compréhension de l’homme.
Dans un opuscule, intitulé Race et Histoire, Claude Lévi-Strauss s’est proposé de réfuter l’idée d’une supériorité ou d’une exemplarité de l’histoire occidentale par rapport à celles d’autres cultures. Il s’est attelé, d’abord, à souligner la distinction entre race et culture et observe ainsi, que si les races se comptent par unités, les cultures, elles, se comptent par milliers. Logiquement, on ne peut donc pas dire qu’il existe une culture de l’homme blanc, une culture de l’homme noir, etc.
Certes, il existe bien des différences entre cultures, mais elles peuvent être attribuées à des « circonstances géographiques, historiques et sociologiques, non à des aptitudes distinctes liées à la constitution anatomique ou physiologiques des noirs, des jaunes ou des blancs ». Le problème posé par la confrontation des cultures est-il un obstacle à l’unité du genre humain ? : “Le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit à la barbarie.”
A un moment ou “l’identité ” fait recette, je conseille la relecture de ce grand esprit et vous livre une de “ses pages”.
L’attitude la plus ancienne, et qui repose sans doute sur des fondements psychologiques solides puisqu’elle tend à réapparaître chez chacun de nous quand nous sommes placés dans une situation inattendue, consiste à répudier purement et simplement les formes culturelles : morales, religieuses, sociales, esthétiques, qui sont les plus éloignées de celles auxquelles nous nous identifions. »Habitudes de sauvages », « cela n’est pas de chez nous », « on ne devrait pas permettre cela », etc., autant de réactions grossières qui traduisent ce même frisson,cette même répulsion, en présence de manières de vivre, de croire ou de penser qui nous sont étrangères.
Il est probable que le mot barbare se réfère étymologiquement à la confusion et à l’inarticulation du chant des oiseaux, opposées à la valeur signifiante du langage humain ; et sauvage, qui veut dire « de la forêt », évoque aussi un genre de vie animale, par opposition à la culture humaine. Dans les deux cas, on refuse d’admettre la fait même de la diversité culturelle ; on préfère rejeter hors culture, dans la nature, tout ce qui ne se conforme pas à la norme sous laquelle on vit.
D’où vient la tradition du sapin de Noel présente dans la majorité des pays d’Europe et d’Amérique du Nord? Les traces d’arbres de Noël datent du XIème s.
“Il faut relativiser le mot de Science en ce qui concerne les Sciences Humaines.” [Judem ]
Certes les sciences humaines se prêtent davantage au charlatanisme que d’autres formes de science … parce que souvent la réflexion s’appuie sur des données de base invérifiables. On fait confiance à ce que nous dit “l’ethnologue voyageur” *** parce qu’on ne va pas sur le terrain vérifier ses assertions (et pour cause!), et que le plus souvent il se forme des “paires” qui se cooptent et s’encensent mutuellement (prenant bien garde de ne pas publier, ou bien de publier dans des cénacles notoirement incompétents, ou complices: passe moi la rhubarbe et je te passe le séné).