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Critiques de livres et livres de voyage

« Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade. »

Un livre, des livres, autant d’ouvertures sur le monde et d’occasions de voyager autrement pour découvrir l’Europe mais aussi les 5 continents .. Au fil des pages, explorez le monde de tous les possibles …

 

Les nouvelles chroniques de San Francisco – Armistead Maupin

les nouvelles chroniques de san franciscoCertes, Les nouvelles chroniques de San Francisco d’Armistead Maupin sont un peu datées ces chroniques mais c’est tout de même un portrait pétillant et émouvant de Frisco dans les seventies quand les beatniks viraient punk et que les locataires du 28, Barbary Lane, cherchaient un peu de tendresse et d’amour dans un monde de sexe, de drogue et d’argent trop  facile. Un bon bol d’air pur pour les âmes chagrines.Lire la suite »Les nouvelles chroniques de San Francisco – Armistead Maupin

Chemin de quoi de Catherine de Garaté ; Drôle de dame, drôles de drames

chemindequoiUn style qui émoustille, titille, un récit qui énerve ou qui ravit : un défi ! Mais à quoi ça rime ? Un roman qui met la prose en bouts rimés, qui ose les amants aux moeurs brimés avec humour. Une file de personnages reliés par l’amour ou le hasard. Et où lesbiennes et homos sortent du placard : on les suit avançant en âge au fil du monde qui s’égare. On s’enfile, on file, on défile, plutôt en ville.
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William the Conqueror (Guillaume le Conquérant) de David Bates

Guillaume le Conquérant (William the Conqueror) est probablement l’un des plus grands rois d’Angleterre. Comme l’indique son surnom, ce fut un roi de conquête et peut-être le dernier conquérant que connu l’île…. Qui était ce roi? David Bates livre dans son essai historique une biographie de qualité. Synthèse des quelques éléments clés pour mieux découvrir Guillaume le Conquérant et ce qu’il a apporté à l’Angleterre…

Hommage à Roger Kowalski : « charmons l’ombre », disait le poète

Roger Kowalski ( 1934 – 1975 ) serait-il davantage le poète des aubes que des crépuscule, allez savoir ? Toujours est-il que sa poésie est imprégnée du clair-obscur de ce qui commence ou de ce qui finit. Son nom n’apparait qu’au cours des années 60 dans les pages de La Licorne, puis du numéro 12 du Pont de l’Epée, la revue de Guy Chambelland, réputé talentueux et révélateur du talent des autres.

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