Avec Soul Kitchen (cinema allemand), Fatih Akin, réalisateur allemand d’origine turque, manie un art de la légèreté qui fait de son film une bouffée de bonheur, divertissante et cultive humilité et sensibilité sans sensiblerie.
Running among the clouds (Davidan dar mian abr-ha) de Amin Farajpoor transporte le spectateur à Teheran en Iran, à la rencontre d’un dealer de drogue. Exploration des bas fonds d’une ville et de facette d’une délinquance méconnue…
L’empire des sens de Nagisa Oshima, film scandaleux du Cinéma Japonais des années 70 raconte une passion charnelle mêlant sexualité crue et amour furieux.
Quand le cinéma russe offre une immersion dans l’univers des steppes de Mongolie, à la rencontre du peuple mongol… Ce très beau film aux paysages superbes de Nikita Mikhalkov est un voyage à la fois attachant et enchanteur dans des contrées reculées et méconnues.
Brillante Mendoza change une fois encore complètement de registre et signe avec Kinatay un film violent et provocateur …
Cinéma polonais. Katyn d’Andrzej Wajda est le premier grand film à s’intéresser au massacre de Katyn, traumatisme majeur de l’histoire moderne de la Pologne.
Le genou de Claire d’Eric Rohmer, c’est à la fois un film sur la quête sentimentale et l’errance amoureuse…
Les chats persans est tel un cri de la jeunesse iranienne en quête de liberté d’expression dans cette société des Mollhas oppressante où la musique est clandestine.
Bahman Ghobadi (“Un Temps pour l’ivresse des chevaux”) nous avait habitué à un cinéma rural, toujours aux frontières de l’Iran, et à travers les paysages sublimes de ce pays. Cette fois, il nous invite à un voyage immersif et essentiellement sonore dans les rues de Téhéran, la capitale.
La Strada est l’un des chefs d’oeuvre du cinéma italien des années 50 réalisé par Fellini en 1954. Ce drame, qui réunit Giulietta Masina et Anthony Quinn, deux acteurs d’exception, est peut-être aussi l’un des plus poignants qu’ait produit le 7ème Art… En 1957, il reçut d’ailleurs l’Oscar du meilleur film en langue étrangère…
Somewhere est un film réalisé par Sofia Coppola qui raconte l’histoire d’un homme qui reprend goût à la vie grâce à sa fille…
Le cinéma kirghize est rare en France et n’arrive souvent sur les écrans que grâce aux sélections de certains festivals comme celui de Cannes en 2010 ou celui de Vesoul où Le Voleur de Lumière a été choisi comme film d’ouverture. Avec le Voleur de Lumière (Svet Ake), Aktan Arym Kubat, réalisateur kirghize nous offre une plongée dans la campagne et les terres profondes du Kirghizistan, dans ces villages oubliés par la civilisation de la lumière et du courant électrique…
Andrzej Wadja est probablement à ce jour le plus grand cinéaste polonais et l’un des plus reconnus à l’international. Après avoir commis un film douloureux autour de la barbarie de Katyn, Wajda offre avec Tatarak une oeuvre plus personnel voire intime…
Avec Le Nid Familial « Családi tűzfészek », un cinéaste est né pour le cinéma Hongrois. Béla Tarr, en 1977, explore les marges dans une Hongrie communiste. Un film entre le documentaire et la fiction sur un style réaliste proche de la nouvelle vague tchèque ….