« Un livre est une fenêtre par laquelle on s’évade. »
Un livre, des livres, autant d’ouvertures sur le monde et d’occasions de voyager autrement pour découvrir l’Europe mais aussi les 5 continents .. Au fil des pages, explorez le monde de tous les possibles …
Imre Kertész, célèbre écrivain hongrois, porte un regard passionnant sur la Shoah, sujet encore tabou dans une Hongrie au nationalisme exacerbé, qui après le nazisme connut la dictature communiste…
Dans La princesse de l’ombre, Indu Sundaresan plonge le lecteur dans l’Inde du XVIIème siècle… Celle de l’Empire Moghol déjà convoité par un Occident conscient de ses richesses…. et une Inde où la cruauté côtoie le plus grand raffinement….
Marie Stuart est une biographie historique de Michel Duchein, qui est consacrée à la reine d’Ecosse, Marie Stuart… Un personnage passionnant et complexe accusé d’avoir comploté contre son ennemie jurée, Elizabeth Ier, fille d’Henry VIII et Ann Bolein. Le destin de Marie Stuart soulève des questions essentielles sur le sens du pouvoir politique ou la place de la religion entre gouvernement, domaines publics et privés…
Un banc sur la plage de Maurice Revelli ; une belle histoire mêlant bonne action et optimisme, qui fait de ce roman de la litterature francaise un bon livre de plage.
Le faon de Magda Szabo, ou le roman d’Eszter, une femme qui est riche et connue, mais qui est dévorée par la jalousie et la haine qu’elle nourrit à l’égard d’une autre femme. Une femme du nom d’Angela, qu’elle a connue dans le village de son enfance et qui a épousé l’homme qu’Eszter aime et qui l’aime… Mais l’amertume d’Eszter, c’est aussi son regard sur l’enfance et sur tout ce qu’Angela symbolise et qu’Eszter n’a jamais connu. Un roman de Magda Szabo aux airs de monologue, où se mêlent confession, confidences et expiation…
Littérature et cuisine font souvent bon ménage. Dans la Cuisine de Théophile Gautier, Alain Montandon révèle un aspect peut-être méconnu de l’écrivain français Théophile Gautier, à savoir son goût pour la gastronomie.
Lire en Amérique Centrale, c’est accepter une invitation pour lire la violence. La violence des rebellions, des guerres civiles ou des exils. Une littérature de la violence et de l’intolérable.
La comparaison entre Georges Brassens et René Char est plutôt osée. Et pourtant, comment ne pas voir dans les textes de ces deux poètes de fortes similitudes dans la signification et le but recherché …