Vâlcea : stations balnéaires et thermalisme sur les bords de l’Olt en Olténie
Notre destination touristique est aujourd’hui le département de Vâlcea, dans… Lire la suite »Vâlcea : stations balnéaires et thermalisme sur les bords de l’Olt en Olténie
L'équipe de Radio Romania International : Andrei Popov, Valentina Beleavski, Alex Diaconescu, Ileana Taroi, Alexandra Pop, Dominique, Mariana Tudose, Ioana Stancescu, Costin Grigore. ________________________________________________________________________________________________________ Découvrez la Roumanie et l'actualité roumaine sur le site de Radio Romania International
Notre destination touristique est aujourd’hui le département de Vâlcea, dans… Lire la suite »Vâlcea : stations balnéaires et thermalisme sur les bords de l’Olt en Olténie
“L’Etat roumain semble enfin décidé à faire des efforts significatifs pour se rapprocher de la République de Moldova. La visite du chef de l’Etat roumain à Chisinau a été peut-être le signal le plus clair que Bucarest ait lancé depuis 20 ans sur un avenir commun des Roumains vivant des deux côtés de la rivière Prut et qui sépare nos pays. Elle a donné à croire que, dans un avenir plus ou moins proche, ils pourraient vivre de nouveau ensemble.”
Lire la suite »Diplomatie : Nouvelles perspectives sur l’axe Bucarest Chisnau
Valea Viilor, charmant village en Transylvanie, est classé au patrimoine… Lire la suite »Valea Viilor ; village saxon et église fortifiée de Transylvanie
Le château d’Huniade est le plus ancien de la ville de Timisoara en Roumanie. Il fut érigé entre 1443 et 1447 par Iancu de Hunedoara – Jean Huniade – voïvode de la Transylvanie pendant la première moitié du 15e siècle et un des champions de la lutte anti ottomane.
Chef-lieu du département de Bihor dans le Nord Ouest de la Transylvanie, et sise à 20 km seulement de la frontière hongroise, Oradea est une ville cosmopolite, un des centres économiques, sociaux et culturels importants du pays.
Entrons maintenant dans le vif de notre dossier du jour sur la perméabilité de l’Europe face aux ressortissants d’autres régions du monde. Restons tout d’abord en Europe de l’Est, puisque la Roumanie se prépare justement à intégrer l’espace Schengen en mars 2011. Bucarest est, pour ainsi dire, sur la dernière ligne droite pour biffer cet objectif – la priorité politique la plus importante après son adhésion à l’UE et à l’OTAN, comme l’avait dit le premier ministre roumain, Emil Boc. Il s’exprimait samedi dernier, lors de l’inauguration du service d’immigration du département de Cluj, dans l’ouest de la Roumanie. La responsabilité des autorités de Bucarest est, en ce sens, immense – avait-il ajouté – puisque, à compter de l’année prochaine, le pays devient la frontière orientale de l’espace Schengen.
Lire la suite »Nouvelles formalités des visas pour la Moldova (Moldavie)
Apprendre le roumain gratuitement en ligne, c’est possible sur IDEOZ en collaboration avec RRI. Apprendre le roumain, c’est facile… La leçon 18 du roumain en ligne portera sur la conjugaison de a avea en association avec les mots patience et chance… Comment dire avoir de la chance ou être patient en roumain?
Lire la suite »Apprendre le roumain – leçon 18 : A avea noroc/ ràbdare
Praid se situe dans le département de Harghita dans l’est de la Transylvanie. C’est une petite localité située à 68 km de Târgu Mureş et à 7 km de la station balnéaire de Sovata. Praid est attractive en raison de sa saline ; l’une des plus grandes d’Europe.
Boisson plusieurs fois millénaire, la bière trône sur la table… Lire la suite »Laurentiu Iancu ; fabriquez votre propre bière avec ce brasseur pas comme les autres
Obsolète, caduc, démodé, ringard, nase – tous ces mots, nous… Lire la suite »Mais qui était Pazvante Chiorul « le borgne »?
Le premier film roumain primé en 2010 a été celui… Lire la suite »Colivia (La cage) de Adrian Sitaru ; le cinéma roumain primé à la 60ème Berlinale
La rage fait rage en Roumanie ! Une statistique alarmante met en rage le journal Evenimentul Zilei qui titre à sa une: la Roumanie – championne européenne en matière d’animaux enragés. Selon un rapport du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies transmissibles, sur un total de 1127 renards enragés enregistrés en 2008 en Europe, 951 peuplaient les forêts roumaines.
“Rusaliile” est une fête ancienne dont les origines remontent à… Lire la suite »Rusaliile et Rosalia : la Pentecôte en Roumanie depuis les origines
Outre la fête du Martisor, les premiers jours du mois… Lire la suite »Babele : fête roumaine et journées des « Vieilles » inspirées des légendes de Dochia
Le 1er Mars en Roumanie, c’est la fête de Martisor, qui annonce le printemps et qui est un moment important pour signifier à ses proches, ses amis ou son amoureux qu’on pense à lui…
Le radicalisme de gauche a conféré une nouvelle dimension à la lutte politique en Roumanie, à savoir le terrorisme. A la différence de l’assassinat politique, dont l’histoire abonde et qui, par définition, vise un individu ou un groupe rival, le terrorisme tue à droite et à gauche. Coupables présumés ou tout simplement innocents périssent dans les attaques des fanatiques d’une quelconque idéologie ou en sortent mutilés.
Cela fait du terrorisme une forme de lutte des plus repoussantes et lâches. Les débuts du terrorisme sont à placer dans la seconde moitié du XIXe siècle, voire même au temps de la Révolution française de 1789. L’anarchisme, c’est la manifestation la plus violente de propagation du terrorisme depuis ses débuts jusqu’à l’époque de la révolution bolchevique de 1917. Une fois instauré le pouvoir soviétique, le Komintern écrit des pages importantes de l’histoire du terrorisme mondial. Après 1945, le relais sera pris par des groupes et groupuscules d’extrême gauche et par le terrorisme islamique.
Le terrorisme en Roumanie ne saurait être dissocié du nom de Max Goldstein. D’origine juive, il devient, dès sa jeunesse, sympathisant du communisme et adepte des méthodes anarchistes de lutte supposant des attentats. Il était surnommé ”l’homme au crochet”, car il se servait d’un à la place du bras qu’une explosion lui avait arraché. L’historien Ioan Scurtu nous explique en quoi consistait la conception de Max Goldstein sur le monde nouveau qu’il souhaitait amener en Roumanie.
“Dans ce cas, ce n’est pas à un attentat au substrat politique que je me rapporte, mais plutôt à une conception. La fin du XIXe et le début du XXe siècle virent apparaître l’anarchisme, courant politique ayant pour principal promoteur Mihail Bakunin. Il visait à annihiler toute capacité de réaction de la classe dirigeante par la liquidation de ses élites. Cela aurait permis à la classe ouvrière de s’emparer du pouvoir et d’assurer aux masses une vie meilleure. Seulement, l’anarchisme n’a pas tellement pris en Roumanie. L’on en débattait les principes, mais on avait du mal à croire qu’en tuant quelques personnes on arriverait à renverser tout un système politique”.
L’histoire de Max Goldstein commence en novembre 1920, lorsqu’il tente d’assassiner Constantin Argetoianu, ministre des affaires étrangères à l’époque. Il rate son coup, mais peu de temps après, le 8 décembre, avec l’aide de Saul Osiaset Leon Lichtblau, il monte une autre attaque à la bombe, contre le siège du Sénat de Roumanie. En tombent victimes le ministre de la justice, Dimitrie Greceanu, et les sénateurs Demetriu Radu, évêque de l’église uniate d’Oradea, et Spirea Gheorghiu. L’attentat a également fait des blessés, parmi lesquels le président du Sénat, Constantin Coandà. Nous repassons le micro à l’historien Ioan Scurtu.
“Il était persuadé qu’en liquidant un certain nombre de personnes il parviendrait à accomplir l’idéal socialiste. En 1919 et 1920, il attenta, à plusieurs reprises, à la vie du roi Ferdinand Ier, encore que ce le souverain ne fût pas le pire ennemi des Roumains, loin s’en faut. Pour rappel, c’est pendant son règne que s’accomplirent la grande Union et la réforme. Après ces échecs répétés, Goldstein organisa l’attentat contre le siège du Sénat, institution qu’il prit pour cible en raison de son prestige. En effet, le Sénat était tenu à l’époque pour un corps d’élite. Il comptait nombre de personnalités qui, sans être sénateurs élus, détenaient quand même cette qualité en vertu des différentes dignités qu’elles représentaient: chefs du clergé, recteurs d’universités ou encore anciens ministres et parlementaires.”
L’action de Goldstein a choqué l’opinion publique, déterminant les autorités à se mobiliser pour lui mettre la main dessus – ce qu’elles réussirent en novembre 1921. L’exemple de Goldstein a contribué à la dissémination et à la consolidation du judéo-bolchévisme – cette théorie assumée par l’extrême droite par laquelle les Juifs étaient assimilés aux communistes. Un procès fut ouvert où l’on plaida trois causes: celle des dirigeants de la grève générale de 1920, celle du Sénat et celle des socialistes qui avaient voté en faveur de l’Affiliation du Parti Socialiste à la 3e Internationale Communiste. Repassons le micro à notre invité, l’historien Ioan Scurtu:
« Lors du procès, tant les sociaux-démocrates que les communistes ont désavoué cette pratique et requis la disjonction des dossiers. La demande fut acceptée. Goldstein fut jugé séparément et fut condamné à perpétuité. Emprisonné, il fit la grève de la faim pendant 32 jours et mourut des suites de cette forme de protestation. Avec lui s’éteignait le dernier terroriste du mouvement anarchiste de Roumanie. »
Max Goldstein meurt donc à 26 ans, laissant derrière lui l’image d’un combattant radical et téméraire contre la société capitaliste. Son action irréfléchie a nourri l’illusion de millions de personnes dans un monde nouveau fondé sur le meurtre de ses semblables.
Aut. : Steliu Lambru ; trad. : Mariana Tudose, Dominique
L’exploitation des mines est une occupation ancienne des habitants de… Lire la suite »Exploitations minières pendant la période communiste en Roumanie
La « ciorba » est un des plats traditionnels les plus connus, les plus succulents et qui se retrouvent le plus souvent sur la table des Roumains. Inspirée de la chorba moyen orientale et du bortch russe, la « ciorba » est une sorte de soupe au goût aigre.
Une recette classique et très simple : la «ciorba» de peste, la soupe de poisson, un plat que l’on retrouve au bord de toutes les rivières et surtout du Danube en Roumanie…
La Zacusca est un plat spécifique aux Balkans qui consiste en une sorte de purée de légumes cuits : tomates, poivrons, aubergines, champignons, courgettes mélangés selon vos préférences. Voici la recette roumaine de la Zacusca…
La Fasole batuta, très consommée au Carême, est une purée de haricots blancs agrémentée de poivrons, d’oignon, d’ail et de sel. Cette recette roumaine s’apprécie avec une paire de saucisses ou sur une tranche de pain.
A Timisoara, le théâtre National est un espace multiculturel largement dédié à la dramaturgie contemporaine roumaine. Si le théâtre disparaît dans certaines villes roumaines, il reste à l’honneur dans la capitale du Banat.
Sarmizegetusa, située dans le département d’Hunedoara en Transylvanie est l’un… Lire la suite »Sarmizegetusa, ancienne capitale de la Dacie (Tourisme Roumanie Unesco)
Si vous aimez les histoires racontées autour des feux de… Lire la suite »Tourisme rural en Roumanie : de la Bucovine à Sibiu
Né en 1895, le cinéma est vite devenu une habitude en Roumanie aussi. En 1911, c’était déjà le passe-temps préféré des habitants de la périphérie de la capitale. L’été, ils se réunissaient dans un jardin – restaurant pour manger de mici (boulettes de viande hachée et grillée), pour boire de la bière et regarder des projections sur un écran improvisé à l’aide d’un drap attaché à deux piliers. Le répertoire comportait des bulletins d’informations ou bien deux drames, suivis à chaque fois par une comédie. C’étaient évidemment des courts – métrages. Les films roumains étaient d’habitude des adaptations des spectacles de théâtre à succès.Lire la suite »« L’indépendance de la Roumanie » ; ouverture d’un débat grâce au cinéma
En Roumanie, le 26 Octobre correspond dans la calendrier calendrier orthodoxe à la fête de la Saint Démètre ou Sanmedru. Une fête qui donne lieu à des traditions populaires et à des légendes.