Espagne : quand le cinéma devient l’otage des débats linguistiques
Des débats linguistiques autour du cinéma ? Oui, pourquoi pas.
A la différence des autres pays, en Roumanie, les films qui passent à la télé ou au cinéma ont un statut spécial. Ils sont diffusés dans leur langue originale, avec sous-titrage. Une pratique dont les raisons sont strictement d’ordre financier, car embaucher des acteurs pour tout doubler nécessite des fonds importants, dont les cinémas et les télévisions ne disposent pas.Lire la suite »Espagne : quand le cinéma devient l’otage des débats linguistiques
 
								
 C’est le retour pétaradant de Sade. Sade Adu (prononcez Chadé Adou), de son véritable nom Helen Folasade Adu revient en force. La britannique à la voix rauque et voluptueuse, sexy, suave et drôlement sympa, est issue d’un mariage mixte, entre un Nigérian et une Anglaise. Cette voix grave a bercé mon enfance au moment du fameux Smooth Operator. Ce classique de la soul/jazzy a traversé avec bonheur les décennies.
C’est le retour pétaradant de Sade. Sade Adu (prononcez Chadé Adou), de son véritable nom Helen Folasade Adu revient en force. La britannique à la voix rauque et voluptueuse, sexy, suave et drôlement sympa, est issue d’un mariage mixte, entre un Nigérian et une Anglaise. Cette voix grave a bercé mon enfance au moment du fameux Smooth Operator. Ce classique de la soul/jazzy a traversé avec bonheur les décennies. Certes, sur le terrain, l’ordre règne. Ou presque. Mais les accords de DAYTON montrent chaque jour un peu plus leurs limites… « La Bosnie-Bosnie-Herzégovine s’enfonce dans une paralysie politique dangereuse, avec une population qui ne se résigne qu’en apparence.. Dans le village Sarajevo, où le multiculturalisme n’est qu’un mythe illusoire, une colère rentrée peut exploser au moindre incident. Et la question serbe reste posée. Sérieusement. Avec une république autonome qui est un foyer de réseaux mafieux et une caisse de résonance de tensions extérieures. Une nouvelle guerre ? Certains ne l’excluent pas. Le terrain reste miné. Avec des bombes à retardement qu’il importe de désamorcer rapidement »
Certes, sur le terrain, l’ordre règne. Ou presque. Mais les accords de DAYTON montrent chaque jour un peu plus leurs limites… « La Bosnie-Bosnie-Herzégovine s’enfonce dans une paralysie politique dangereuse, avec une population qui ne se résigne qu’en apparence.. Dans le village Sarajevo, où le multiculturalisme n’est qu’un mythe illusoire, une colère rentrée peut exploser au moindre incident. Et la question serbe reste posée. Sérieusement. Avec une république autonome qui est un foyer de réseaux mafieux et une caisse de résonance de tensions extérieures. Une nouvelle guerre ? Certains ne l’excluent pas. Le terrain reste miné. Avec des bombes à retardement qu’il importe de désamorcer rapidement »